Poutine a présenté, à la veille de ce sommet, les conditions dans lesquelles la Russie serait disposée à discuter d’une fin de la guerre, exigeant que l’Ukraine renonce à son adhésion à l’OTAN et se retire de plusieurs territoires occupés par les forces russes.
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La Russie n’a pas été invitée au sommet de la paix près de Lucerne. La Suisse, pays hôte, a justifié cette décision en expliquant que le Kremlin avait fait savoir à plusieurs reprises qu’il n’y voyait aucun intérêt et qu’il refuserait de toute façon une éventuelle invitation. La Chine, puissance mondiale, est également absente de la conférence.
Selon M. Rutte, Vladimir Poutine « fait une erreur » en refusant de venir au dialogue. Le Premier ministre a également critiqué les rumeurs selon lesquelles le dirigeant russe se rendrait prochainement en Corée du Nord. « La moitié des Nations Unies » est représentée au sommet de la paix et de nombreux pays y ont envoyé leurs chefs d’État ou de gouvernement, a-t-il ajouté.
