Publié le 30 avril 2024 à 17h35 / Modifié le 30 avril 2024 à 17h38
A Tbilissi, Tamar Oniani se prépare à la manifestation de ce mardi soir. « Tout dépend de ce qui se passe aujourd’hui au Parlement, mais je pense que la loi sera adoptée », murmure par téléphone le directeur des droits de l’homme de l’Association des jeunes avocats géorgiens, la plus grande. ONG dans le pays. Mardi, les députés du Parlement géorgien ont examiné en deuxième lecture le projet de loi sur « l’influence étrangère ». Elle est comparée par ses détracteurs à la loi russe sur les « agents étrangers » utilisée pour faire taire les dissidents et étouffer la société civile. En Géorgie, cette loi vise également à museler les médias et les ONG en les qualifiant d’« agents étrangers » si plus de 20 % de leur financement vient de l’étranger. « Notre organisation va être affectée », souffle Tamar Oniani. La majorité de nos fonds proviennent d’institutions internationales.
Une division artificielle
Intéressé par cet article ?
Pour profiter pleinement de notre contenu, abonnez-vous ! Jusqu’au 30 avril, profitez de près de 15 % de réduction sur l’offre annuelle !
CONSULTER LES OFFRES
Bonnes raisons de s’abonner au Temps :
- Accès illimité à tout le contenu disponible sur le site.
- Accès illimité à tous les contenus disponibles sur l’application mobile
- Plan de partage de 5 articles par mois
- Consultation de la version numérique du journal à partir de 22h la veille
- Accès aux suppléments et à T, le magazine Temps, au format e-paper
- Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés
Déjà abonné ?
Ouvrir une session