un nouveau lieu pour les prochaines éditions ? – .

Et si MEETT n’était pas la panacée ? Et si les futures éditions de la Rose Festival se déroulaient ailleurs que sur le site où est né l’événement ? Le changement d’ampleur de l’événement qui s’étendra cet été sur quatre soirées marque une volonté de développement que Jean-Nicolas Baylet, directeur général du Groupe Dépêche, a souligné lors de la conférence de presse d’hier : « Ajouter une soirée provoquée par d’intenses débats entre les artistes , Bleu Citron productions et nous Notre ambition est toujours de grandir, les chiffres sont bons, l’expérience est saluée par le public mais elle n’est pas facile à développer cette année. nous serons toujours au MEETT mais notre présence sur le site n’est pas obligatoire à l’avenir. Nous voulons nous développer, c’est pourquoi nous réfléchissons beaucoup à investir dans notre propre logement tout en réfléchissant également à la question de l’hébergement et du camping.

La réflexion menée sur une jauge plus conséquente (30 000 aujourd’hui chaque soir), sur des investissements plus centrés sur « l’expérience des festivaliers et notamment dans des lieux permanents comme au Hellfest » a poursuivi Jean-Nicolas Baylet, plutôt que sur le coût des la location du site ne peut, pour l’instant, aboutir. A la balance, la desserte idéale du site d’Aussonne par des transports en commun, des navettes tramway et bus assurant la fluidité de la circulation routière et un accès facile au festival. Les scènes de liesse, d’échanges et de partage qui se déroulent dans les transports en commun en témoignent chaque année…