“Challengers”, “Guerre civile”, “Amal, un esprit libre”, “Retour au noir”, “Borgo”

“Challengers”, “Guerre civile”, “Amal, un esprit libre”, “Retour au noir”, “Borgo”
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« Guerre civile » d’Alex Garland

« Allons-nous vraiment vers une guerre civile ? » a demandé le New York Times il y a 2 ans. À cette question, le cinéaste – et romancier – anglais Alex Garland répond : oui. Son quatrième long métrage met en scène une guerre civile qui ravage les États-Unis. Elle se déroule dans un futur qui semble très proche et voici les faits : la Californie s’est alliée au Texas pour lutter contre les forces fédérales dirigées par un président fou qui n’hésite pas à bombarder ses concitoyens et qui se réfugie à la Maison Blanche. comme dans un bunker.

Lee, interprétée par Kirsten Dunst, est une reporter de guerre qui rend compte des événements et qui va se lancer dans un voyage avec deux autres collègues et une jeune femme qui l’admire et dont elle deviendra peu à peu le mentor. Trois générations de journalistes sont rassemblées dans une voiture quittant New York pour rejoindre Washington et tenter un ultime entretien avec le président.

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« Amal, un esprit libre » de Jawad Rhalib

Le film se déroule dans un lycée de Bruxelles. Amal y est professeur de littérature et son prénom donne son titre au film.
Alors qu’une de ses élèves vit l’homophobie d’une partie de sa classe, Amal décide de leur présenter Nabu Awas, un poète du VIIIe siècle, arabe, musulman et bisexuel. A partir de là, cet enseignant fera l’objet d’intimidations et de menaces de la part de plusieurs élèves, de leurs parents et d’un professeur de religion de l’établissement.

Le sujet du film est donc l’influence du fondamentalisme religieux dans le système scolaire belge, la manière dont une enseignante tente d’y faire face, la distance prise par ses collègues et sa hiérarchie, le déchaînement des réseaux sociaux… Après « Pas de vague » et « La Salle des profs », le cinéma devient définitivement une caisse de résonance du malaise scolaire. L’idéal d’« Être et avoir », le documentaire de Nicolas Philibert, c’était il y a 22 ans. Amal est interprétée par la merveilleuse Lubna Azabal.

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“Retour au noir” de Sam Taylor-Johnson

L’Anglaise Amy Winehouse, dont la vie et la musique font l’objet d’un biopic, quelques semaines après Marley, et avant les films consacrés à Bob Dylan, Bruce Springsteen ou encore Michael Jackson car, comme le dit Belkacem Bahlouli, rédactrice en chef de Rolling Stone, « aujourd’hui, les biopics musicaux poussent comme des champignons après la pluie ». Ce film, dédié à Amy Winehouse, porte le titre de l’album qui a fait connaître la chanteuse à travers le monde et il retrace la genèse du disque, liée à l’amour destructeur qui l’a notamment inspiré. Près de 15 ans après la mort d’Amy Winehouse à l’âge de 27 ans, c’est l’Anglaise Marisa Abela qui l’incarne à l’écran et le film est signé du cinéaste Sam Taylor-Johnson, notamment connu pour avoir réalisé la première partie de “Cinquante Nuances de gris”.

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« Borgo » de Stéphane Demoustier

Borgo, c’est le nom d’un centre pénitentiaire près de Bastia où Mélissa – Hafsia Herzi à l’écran – vient de prendre ses fonctions de surveillante. Elle arrive de banlieue parisienne avec ses deux enfants et son mari Djibril. A Borgo, une détenue facilite l’intégration de Mélissa à l’intérieur, mais aussi à l’extérieur de la prison. Soudain, le racisme auquel elle et sa famille étaient confrontés n’existait plus. À partir de là, une chaîne de services rendus s’établit entre Mélissa et le détenu. A côté de ce récit, Stéphane Demoustier tisse le récit d’une enquête policière, suite à l’assassinat de deux hommes à l’entrée de l’aéroport de Bastia. Quel est le lien entre Melissa et la mort de ces deux hommes ?

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« Challengers » de Lucas Guadagnino

Le trio du film est composé de Patrick et Art, deux bons amis, aux pectoraux saillants et brillants qui se regardent en mordant dans des bananes entre deux sets. Un beau jour, Patrick et Art rencontrent Tashi, qui a une carrière prometteuse. Ils font des trucs à trois, avant qu’elle choisisse l’Art. Mais le renoncement de Tashi à Patrick est-il définitif ? Tashi, victime d’une grave blessure, va devenir l’épouse et l’entraîneur impitoyable d’Art avant que les deux hommes ne s’affrontent contre elle dans un tournoi de second ordre. est Tashi, Josh O Connor est Patrick et Mike Faist est Art.

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Coups de coeur

Charlotte Lipinska : Le documentaire « Les Anciens » de Claus Drexel

Xavier Leherpeur : le livre « Chantons sous les larmes » d’Agathe Natanson, du Seuil

Florence Colombani : le livre « Busby Berkeley, l’homme qui avait le vertige » de Séverine Danflous et Pierre-Julien, Marest éditions

Nicolas Schaller : le film « Bushman » de David Schickele, 1971

 
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