Alors qu’OpenAI a récemment annoncé le lancement prochain de son premier agent d’IA autonome, des rapports suggèrent que la société travaille sur des super-agents d’IA dotés de compétences de niveau doctorat. Elle prévoit une réunion à huis clos avec des responsables du gouvernement américain au sujet de leur lancement à la fin du mois. L’arrivée de ces outils sur le marché du travail, déjà fragilisé par l’IA, pourrait provoquer des bouleversements supplémentaires.
Les agents d’IA autonomes constituent un nouveau type d’outils capables d’effectuer un certain nombre de tâches complexes avec une supervision humaine minimale. Tels de véritables employés virtuels, ils peuvent prendre des décisions, s’adapter aux demandes et aux situations et réagir en conséquence. Par exemple, ils pourraient écrire des programmes informatiques complets et les tester, organiser des voyages depuis la planification jusqu’aux différentes réservations nécessaires, prendre des décisions d’affaires et effectuer diverses actions connexes, etc.
Microsoft et OpenAI sont actuellement les premiers à annoncer le développement de tels outils. Certains des agents d’IA de Microsoft sont déjà testés auprès de grandes entreprises, dont McKinsey. Ce dernier les utilise par exemple pour planifier des réunions et gérer les demandes des clients. OpenAI, quant à lui, prévoit de lancer son premier agent avant la fin de ce mois. Altman affirme que ces outils pourraient entrer sur le marché du travail dès cette année.
-Selon Axios, OpenAI annoncera (peut-être dans les semaines à venir) une avancée encore plus importante. Selon des sources proches de l’entreprise, il s’agit de super-agents IA dotés de compétences de niveau doctorat et capables d’effectuer des tâches encore plus complexes. Les principaux acteurs du développement de la technologie ont également dépassé leurs objectifs.
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