cet appareil va tout changer, les concernés

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A partir du 1er janvier 2025, une nouvelle étape sera franchie dans la redistribution des bénéfices des entreprises. La loi sur le partage de la valeur introduit l’obligation pour certaines PME de mettre en place un mécanisme de redistribution des bénéfices. En effet, les PME 11 à 49 salariés devra mettre en place un mécanisme de redistribution des bénéfices. Explications.

La loi change pour les salariés des PME

LE Les salariés des PME ont de quoi se réjouir ! Et ce, alors que les petites structures sont pour le moins menacées, voire touchées par des faillites d’entreprises.

Ainsi, à compter du 1er janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés devront mettre en place un système de valeur de partage.

Sur son site internet, l’Urssaf précise que cette mise en place d’entreprises qui « réaliser un bénéfice net fiscal positif au moins égal à 1% du chiffre d’affaires pendant trois années consécutives ».

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Par exemple, un exercice ouvert du 1er janvier 2025 au 31 décembre 2025si l’entreprise réalise un bénéfice net fiscal au moins égal à 1% de son chiffre d’affaires sur les exercices 2022. 2023. 2024, elle devra mettre en place un système de partage de la valeur. Si l’entreprise ne remplit pas ces conditions, cette mesure ne la concerne pas.

Son paiement peut prendre trois formes différentes, à savoir :

– un régimeaccord de participation ou d’intéressement.
– et plan d’épargne salariale (PEE, PEI, Perco ou Pereco, précise l’Urssaf).
– mais aussi le versement d’une prime de partage à la valeur (premier Macron).

« Cette année, nous avons baissé notre chiffre d’affaires donc nous réduisons un peu la prime. Mais il est certain que si on était en dessous de 0, nous ne pouvions pas déclencher de prime. », expliquer à BFMTV Catherine Guerniou. Elle dirige une PME dans le Val-de-Marne et verse une prime de partage de valeur pour la troisième année consécutive.

Si les salariés reconnaissent le caractère motivant de cette prime liée au performances commercialesla majorité aurait préféré qu’il soit plutôt stable dans le temps.

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Quels employeurs sont exemptés de cette règle ?

Les entreprises suivantes ne sont pas tenues de se conformer à cette nouvelle obligation :

– LE entreprises individuelles.
– et le les entreprises qui relèvent du statut de société anonyme à participation des travailleurs (SAPO).
– une entreprise moins de 50 salariés qui fait partie d’une UES soumise à participation.
– et plus généralement, toute entreprise déjà couverte par un accord d’intéressement ou de participation.

Attention, même si votre employeur n’a pas cette obligation, il peut la mettre en place volontairement. Elle bénéficiera ainsi du cadre fiscal et social très avantageux.

Veuillez noter que cette nouvelle obligation est expérimentale et temporaire. Et ce, pour une durée de 5 ans à compter du 1er janvier 2025.

A noter que pour les salariés gagnant moins de trois Smic, le PPV payé entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2026 est exonéré de cotisations salariales et patronales. Mais aussi la CSG et la CRDS et l’impôt sur le revenu.

 
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