Même s’ils sont bien plus nombreux, les vols courts (500 km, 1 000 km) émettent moins de gaz à effet de serre que les (très) longs courriers. Or, dans certains pays, c’est la première qu’on essaie d’éviter (quand il existe une alternative ferroviaire par exemple) mais on ne parle jamais de la seconde. Frédéric Dobruszkes, chercheur à l’ULB, revient sur cette idée.
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Dans, une étude publiée dans le Journal de géographie des transportsLe chercheur FNRS de l’ULB, Frédéric Dobruszkes, et deux collègues des universités de Dortmund et de Lyon bousculent l’idée largement répandue selon laquelle, pour lutter contre les effets du réchauffement climatique, il faut avant tout cibler les vols aériens courts et courts. très court. En 2022 déjà, le chercheur bruxellois avait mené des recherches sur l’impact climatique des vols courts dans 31 pays européens. Avec ses collègues, il vient d’étendre l’étude à tous les pays du monde.
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