l’essentiel
Auteur, compositeur, interprète, Thomas Grasset alias Flowindz sera au Métronum de Toulouse le 15 janvier pour la 4ème édition du festival Fraîcheurs Toulousaines dont il est le créateur. Un artiste de 20 ans plein de promesses.
Il est jeune et enthousiaste. Thomas Grasset, alias Flowindz, est à l’âge de l’audace et n’en démord pas. Auteur, compositeur, interprète depuis six ans, ce garçon au physique romantique a créé le festival Fraîcheurs Toulousaines en juin 2023, pour immerger de nouveaux talents : « À cette époque, je me posais des questions, explique-t-il. Comment faire un concert, toucher des labels, créer une audience auprès du public ? Beaucoup de jeunes artistes toulousains émergents étaient dans mon cas. Il y a un an, j’ai lancé la première édition de ce festival pour offrir aux jeunes artistes. une opportunité de vivre de leur passion.
Depuis, si Thomas continue d’organiser ce festival, il s’est progressivement retiré de la programmation pour poursuivre son chemin vers d’autres horizons : “Grâce à ce festival j’ai pu toucher à la fois le public et les réseaux sociaux, poster mes chansons sur TikTok et Instagram. où ça marche super bien avec plus de 10 millions de vues depuis le début, quotidiennement, avec persévérance, j’ai posté mes chansons et ça a payé.
« Apprendre sur le tas pour devenir artiste »
La richesse de Thomas, c’est aussi l’étendue de son style musical : électro pop, freak, etc. « Je me suis inspiré de Justice, groupe de musique électronique, Dark Funk, Tame Impala, projet musical psychédélique du multi-instrumentiste australien Kevin Parker, par les synthés. des années 80, de la Pop actuelle à la French Touch Electro de ces dernières années, ou encore par le groupe électro français M83, explique-t-il. Mon objectif est de sortir des EP et des vinyles. rassembler toute cette mosaïque musicale.
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Pour le moment tout semble bien fonctionner. Je devrais aussi sortir un album en 2025. » Même si Thomas n’a pas grandi dans un environnement familial particulièrement musical, il avait un père féru de musiques diverses « il écoutait de tout. C’est là la vraie richesse », estime Thomas qui a suivi pendant un an des cours sur les métiers du son à l’école ISPRA de Toulouse. J’ai arrêté un an plus tard par envie d’apprendre sur le tas « comment devenir artiste ». Une décision qui a apparemment plutôt bien fonctionné pour ce jeune talent promis à de belles choses.
Mercredi 15 janvier à 20h au Métronum (2, rond-point Madame de Mondonville) à Toulouse. Tarifs : 8,50 € à 11,50 €. Tél. 05 32 26 38 43. www.lemetronum.fr
