Pour les jeunes victimes d’idées suicidaires, le rôle clé des amis et des parents

Pour les jeunes victimes d’idées suicidaires, le rôle clé des amis et des parents
Pour les jeunes victimes d’idées suicidaires, le rôle clé des amis et des parents

Publié le 30 avril 2024 à 10h51.

Ils ont entre 14 et 17 ans et souffrent. Surtout, ils sont très nombreux. Une équipe des HUG a entrepris de quantifier la prévalence des idées suicidaires chez les adolescents, chiffres souvent imprécis et extrapolés. Leur conclusion, bien qu’attendue, est vertigineuse. Sur les 492 jeunes Genevois interrogés entre décembre 2021 et juin 2022, 14,4% ont fait état de pensées noires au cours des douze mois précédents. Cela représente un jeune sur sept. La psychiatre Anne Edan, responsable de l’unité de crise Malatavie aux HUG, rappelle que la question concerne tout le monde et que les professionnels n’attendent qu’être contactés.

Lire aussi : A Genève, un jeune sur sept a des pensées suicidaires
Le Temps : Qu’est-ce que les idées suicidaires ?

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