ATLANTA — Notre Dame a passé le premier quart du match de championnat national des éliminatoires de football universitaire de lundi soir à essayer de rester à l’écart de l’Ohio State, prenant ainsi une avance de sept points, seulement pour que les Buckeyes fassent en sorte que cela n’ait plus d’importance.
Les Fighting Irish ont transformé leur quart-arrière Riley Leonard en porteur de ballon avec neuf points pour 34 verges, leur permettant de manger à l’horloge et de se frayer un chemin sur le terrain. Ils avaient lancé un premier coup de poing de qualité qui indiquait à leur adversaire qu’ils n’allaient pas tomber sans se battre.
Le seul problème, c’était peut-être leur meilleur coup de poing, et OSU ne faisait que commencer.
Ohio State a répondu avec un touché de six minutes. Ensuite, la défense s’est ajustée alors que Notre Dame passait son deuxième entraînement à reculer en route vers un trois-et-out. Et les Buckeyes sont revenus avec encore six minutes de route pour un touché.
C’est ainsi que s’est déroulée la première mi-temps lundi soir, et cela a été l’histoire des éliminatoires du football universitaire. Un adversaire finit par faire son meilleur swing, et l’Ohio State en rit avant de lancer un barrage de foin contre lequel l’adversaire est impuissant à faire quoi que ce soit.
Ce n’est pas tout à fait le moment de commencer la fête si vous êtes un fan d’OSU. Le choix de Notre Dame de perdre autant de temps en première mi-temps a permis à ce match d’être encore à sa portée, au moins pour débuter le troisième quart-temps. Mais l’écriture est peut-être déjà sur le mur.
-Les Buckeyes ont été une force inévitable pendant toutes les séries éliminatoires contre laquelle tout le monde devait jouer parfaitement pour même avoir une chance. Le Texas a tenu plus longtemps que quiconque et les Longhorns sont quand même repartis avec une défaite de 14 points.
Notre Dame se retrouve déjà à regarder ce déficit en face, et OSU récupérera le ballon pour commencer la seconde période.
Notre Dame s’est bien battue pour commencer le match alors que l’entraîneur Marcus Freeman et son équipe avaient clairement un plan sur la façon dont ils voulaient que ce match commence. Mais ce n’était pas suffisant.
C’est maintenant à Ohio State de mettre la touche finale à ce qui pourrait être une saison magique malgré tant de hauts et de bas.