«Voir un bébé mort n’est pas trivial. Et pourtant, Aurélie Peignier ne se contente pas de les regarder, elle les photographie également. C’est en 2018, à la demande d’un couple de garder une image de leur bébé décédé, qu’Aurélie, 42 ans, est confronté pour la première fois à cet exercice. Et même si cette sollicitation aurait pu donner l’hésitation: «J’ai immédiatement répondu oui. C’est alors qu’elle a appréhendé. Mais les parents l’ont rassurée. «Si c’est trop difficile pour vous, vous pouvez vous arrêter. ». Elle a continué. Et même voulait répéter.
Intégrer l’association de souvenirs
Mappage d’un bébé décédé «C’est une expérience de vie», explique le photographe. Depuis…
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