« Le même club de cœur »

Michel Drucker a reçu le chanteur Adamo ce 29 décembre à Vivement dimanche. Il n’a pu s’empêcher de faire une pointe d’humour sur les soucis de santé qui lient les deux octogénaires.

A 82 ans, Michel Drucker continue de faire les plus belles heures de France 3 grâce à l’émission Vivement dimanche . Ce 29 décembre, il recevait Patrick Sébastien et Salvatore Adamo. Il en a profité pour plaisanter sur les problèmes de santé qu’il partage avec Salvatore Adamo, 81 ans. ” Nous sommes membres du même club les gens de cœur », a lancé avec humour le présentateur en embrassant l’interprète de « La neige tombe ». « Qui a un grand cœur, c’est ce que ça veut dire », a répondu Salvatore Adamo. ” Cela crée des liens », a reconnu Michel Drucker.

Et pour cause, Salvatore Adamo a eu une crise cardiaque à 40 ans, qui lui a laissé quelques séquelles mineures, et Michel Drucker a subi deux opérations cardiaques. Cet été, ce dernier s’était déjà exprimé sur ce sujet dans les colonnes de Ciné Télé Revue. « Avec les deux opérations lourdes que j’ai subies ces dernières années, ma vie a changé. Il y a un avant et un après », a confié celui qui a été opéré du cœur en 2020 et 2023. « Mes cardiologues ne voulaient pas que j’anime un quotidien du village olympique », a expliqué Michel Drucker.

Michel Drucker évoque son rapport à la mort

Le 15 décembre, France 5 mettait à l’honneur Michel Drucker et son impressionnante carrière télévisuelle, dans l’émission Médias C. Malgré les années, le présentateur est toujours aussi passionné par son métier et son émission dominicale à succès, même s’il pourrait grandement bénéficier d’une retraite bien méritée. Amoureux des enregistrements, de son plateau avec son canapé rouge et du public, il est cependant lucide sur son âge avancé et la possibilité que tout s’arrête demain, suite à un problème de santé. ” Je ne veux pas partir. J’aime aussi la chanson de Dalida, “Die on stage”. Souvent, je me dis : quitte à mourir de ma passion, et si je mourais sur mon canapé ? Mais après le générique, une fois que c’est fini », conclut Michel Drucker.

Article rédigé 6Médias