Matilda Djerf a rompu son silence en épinglant un commentaire sous son dernier message et en écrivant : « Créer un espace sûr, inclusif et respectueux a toujours été essentiel pour moi, tant en tant que personne qu’en tant que fondatrice de Djerf Avenue. Je prends ces allégations très au sérieux et si mes actions ont donné à quelqu’un le sentiment d’être maltraité, je m’en excuse sincèrement. L’inclusion est l’une de mes valeurs fondamentales et le fondement de tout ce que j’ai construit avec la marque. J’apprécie profondément tous ceux qui nous représentent et je m’engage à faire en sorte qu’ils se sentent toujours valorisés, inclus et soutenus. Si quelqu’un a ressenti le contraire, je suis vraiment désolé. Je ne me reconnais pas dans toutes les accusations portées, mais je les vois comme une opportunité d’écouter, de grandir, de prendre pleinement mes responsabilités en tant que leader. Je m’engage à réfléchir, améliorer et promouvoir une meilleure culture pour tous, avec les conseils et l’orientation d’un coach et un feedback continu.
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C’est vrai, les utilisateurs en ont assez de recevoir les vidéos d’excuses canoniques conçues autour d’une table et toutes identiques mais, même dans ce cas, ils ne sont pas du tout satisfaits de la manière dont leur (ex) favori a décidé de répondre : quelques lignes sous un post ne suffisent pas, selon eux, pour s’affranchir d’accusations de cette calibre.
Il y a eu une dégradation de l’image : il y a ceux sur TikTok et IG qui regrettent d’avoir profité des réductions de la marque (avant-tempête) et se demandent maintenant s’il faut faire un retour, ceux qui veulent boycotter Djerf Avenue et ne rien acheter. plus ceux qui ont arrêté de suivre l’influenceur et ceux qui se disent soulagés de n’avoir jamais rien acheté.
Cependant, ceux qui la défendent ne manquent pas, beaucoup ont du mal à croire que l’image que Matilda a vendue d’elle-même, toutes ces années, non seulement ne correspond pas à la vérité mais qu’elle est exactement le contraire de ce qui apparaît. .
Reste à voir comment la question va évoluer, mais une chose est sûre : le vernis virtuel de personnalités parfaites avec des vies apparemment parfaites s’effrite de plus en plus.
