Fact’Or 2024 – CBL – Steam Deck, Fact’Or 2024 – Article

Malgré un travail chargé, deux enfants et beaucoup de voyages, j’ai terminé pas mal de jeux cette année. Alors comment, me demandez-vous ? C’est simple : une femme compréhensive (car elle est aussi joueuse), probablement quelques (des dizaines ? des centaines ?) de heures de sommeil tardives et un Steam Deck.

Fact’Or du jeu auquel tu ne joues pas seul

Helldivers 2

Je n’ai pas beaucoup de souvenirs des premiers Helldivers mais je ris quand même en pensant à certaines parties de Helldivers 2. C’est le jeu coopératif parfait pour les quadragénaires, car les parties sont courtes (une mission se termine en moins de 20 minutes), il n’y a pas de - d’arrêt et il ne se prend pas au sérieux. Le mix Starship Troopers/Terminator est absolument délicieux et la folie furieuse qui règne à l’écran a rarement été vue. Il y a des moments où il tire et explose dans toutes les directions. Les moments de jouissance ultime où la frappe aérienne tombe en plein sur le gros insecte que nous visons alternent avec d’autres de rires lorsque la frappe aérienne en question tombe « par accident » sur son coéquipier. Le jeu tourne vite en rond, mais on y revient de - en - après une journée de travail pourrie.

Médaille d’argent : SUPER CRAZY RHYTHM CASTLE. Obtenu gratuitement sur l’EGS et lancé un peu par hasard, il fait partie de ces pépites méconnues. C’est un mélange improbable entre Overcooked, un jeu musical et un jeu d’évasion. Le design est un peu nul et les dialogues insupportables, mais c’est super original.

Fact’Or pour la meilleure console portable

Pont à vapeur

Cette année encore, j’ai été commercial bénévole pour le vélo Valve qui a fait le tour du monde (Los Angeles – Berlin – Tokyo – Paris – Cherbourg) et que j’ai montré à toutes les personnes intéressées (ou non) en vendant les capacités de la bête. . Mine de rien, en 2024, j’ai fini là-dessus :

  • Afterparty – philosophie et alcool, un peu comme The Red Strings Club, mais en bien pire
  • Braid Remastered – J’avoue que sur Deck, je n’ai pas vu beaucoup de différence avec l’original
  • Firewatch – une jolie promenade narrative qui se termine par du boudin
  • Gris – poésie en pixels, pommade pour les cœurs abîmés
  • Minami Lane – management super minimaliste et super zen
  • Comme un dragon : richesse infinie (voir ci-dessous)
  • Ruine – TUER TUER TUER, un tirer super fort vu d’en haut
  • Sayonara Wild Hearts – Rez en version pop
  • Shakedown : Miami – GTA 16 bits, la pseudo-suite de Retro City Rampage
  • Thirsty Suitors – un peu de Tony Hawk, un peu de simulation de rencontreun peu de JRPG, beaucoup de diversité
  • Déballage – comment raconter une belle histoire avec des objets simples (je l’ai terminé la deuxième fois)
  • Warhammer 40,000 : Boltgun – KILL KILL KILL, Doom à la sauce Ultramarines

Je le sors même quand des amis viennent chez moi : je le branche sur la grande télé pour me déchaîner sur Heave Ho, TowerFall, Stick Fight, Move or Die et Jackbox.

Fact’Or pour le meilleur japonais

Comme un dragon : une richesse infinie

J’ai passé plus de 50 heures sur Like a Dragon : Yakuza et honnêtement, je ne pensais pas toucher à un autre Yakuza pendant un moment. Mais Kasuga à Hawaï ne peut être refusé. D’autant plus qu’il n’est pas seul. Il est rapidement rejoint par Kiryu en tant que personnage jouable. Comme le Serpent de MGS 4, Kiryu est vieux et malade, mais ce n’est pas un petit cancer qui va l’empêcher de mettre les pieds où il veut et c’est souvent dans la bouche. Like a Dragon : Infinite Wealth reste un RPG très basique, sans choix et où tout mène à des combats, mais l’écriture compense largement en proposant une galerie de personnages très attachants et un mélange assez unique de sérieux et de fun. Et c’est sans compter les activités annexes. Les clones de Pokémon et d’Animal Crossing sont presque des jeux à part entière dans lesquels on peut passer des dizaines d’heures. Enfin, choisir « Hawaiian Dancer » comme classe de personnage pour Chitose Fujinomiya a probablement été ma meilleure décision de 2024.

Médaille d’argent : The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom. Frostis est peut-être le Nintendork de Factornews, mais je suis le plus grand fan de Zelda de l’équipe. Je n’attendais pas grand chose de ce nouvel opus et je l’ai terminé d’une traite. C’est mignon, c’est frais et c’est coloré. Oui, les puzzles ne cassent pas trois pattes d’un canard, surtout quand on comprend qu’on peut abuser des lits d’une manière qui n’est pas autorisée, mais j’aime la possibilité d’invoquer des armées de cochons et de poulpes pour s’affronter. à notre place. C’est conçu pour un public plus jeune que BOTW/TOTK mais ça fait du bien de - en -.

Fact’Or du jeu où le coeur bat très vite

Sélaco

Lorsque Selaco termine, nous apprenons que nous avons seulement terminé le premier chapitre et nous nous souvenons que nous jouons à un premier jeu d’évaluation. C’était loin d’être évident car ce qui est déjà sorti est bien fini, complet et ultra fun à jouer. Ne vous laissez pas berner par l’apparence « FPS pour quadra » du jeu. Selaco est un FPS très moderne avec tout ce qu’on aime : des mouvements nerveux basés sur des glissades, des armes évolutives et variées, des niveaux semi-ouverts et une progression semi-linéaire qui permet de revenir en arrière à tout moment pour choper un bonus oublié. Les combats sont particulièrement brutaux et sanglants, le tout renforcé par des décors souvent destructibles. L’IA semble tout droit sortie de la PEUR et se précipiter dans la foule est gage d’une mort certaine. Et moteur de Doom oblige, le tout tourne sur une toute petite config. Le paysage sonore est fou et la bande-son est excellente. J’ai hâte de m’y replonger à la sortie du deuxième chapitre !

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Médaille d’argent : Colère Pied. C’est Hotline Miami en 3D avec techno hardcore au lieu de synth wave et d’animaux anthropomorphes au lieu de mafieux. Nous parcourons des niveaux courts, en frappant tout ce qui bouge à grands coups de pied et en utilisant les différentes armes que nous récupérons, du simple pistolet au minigun, en passant par l’arbalète et le lance-flammes. Les tirs de Tatane sont également utilisés pour ouvrir les portes et renvoyer des grenades. C’est con, c’est gras, c’est violent et ça roule à 100 à l’heure.

2024 a été une année chargée. J’aurais aussi pu citer Bowser’s Fury, Ready or Not, Warhammer 40000 : Gladius – Relics of War, Chained Together et ce bon vieux Doom 2. Je n’ai pas spécialement de « jeu de l’année ». Je suis juste heureux d’être en vie et de jouer à autant de bons jeux. Merci à tous les promoteurs qui ajoutent leur pierre à l’édifice et contribuent à rendre ce monde un peu moins merdique. Pour 2025, je compte terminer STALKER 2 avant de m’attaquer à Civilization VII tout en continuant à puiser dans mon backlog de jeux.

 
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