Mise à jour 28 juin 2024 à 00h00
Le 1er juillet est le jour du déménagement par excellence. Mais est-ce vraiment le meilleur choix en matière de météo ?
Le 1er juillet approche à grands pas. Journée festive pour certains, journée de grands changements pour d’autres, la météo de cette journée est surveillée de près. Si cette année les prévisions sont optimistes, cela n’a pas toujours été le cas. Retour sur quelques 1er juillet pour le moins compliqués.
Se déplacer sous la pluie
Entre l’humidité qui abîme les affaires et les risques de glisser, quoi de plus désagréable que de bouger sous la pluie ? Les Montréalais qui ont déménagé l’année dernière s’en souviennent probablement encore, lorsqu’il est tombé 27 mm de pluie ce jour-là. Ce 1er juillet a été le plus humide depuis 1974.
À Québec, 2015 a été une année charnière. Les déplacements se sont déroulés sous près de 52 mm de pluie. Mais le record est toutefois détenu par Gaspé qui a reçu pas moins de 55 mm en 1988 en ce jour fatidique.
Mouvements extrêmes
Les précipitations ne sont pas la seule complication lors d’un déménagement. Entre pluie et chaleur, difficile de choisir ce que l’on préfère.
À Montréal et en Gaspésie, les résidents ont déménagé leurs biens sous une chaleur accablante qui a atteint 33,9 degrés en 2018 et 2002 respectivement. À Québec, le mercure a grimpé jusqu’à 31,4 degrés en 2014.
La fraîcheur peut aussi être désagréable. À l’inverse, certains 1er juillet ont été beaucoup plus frais que la normale. Le 1er juillet 1988 a été la journée de déménagement la plus froide pour de nombreux Québécois, avec 16,6 degrés enregistrés à Montréal et 9,9 degrés à Gaspé.
