L’Ukraine a-t-elle trouvé une solution pour reprendre sérieusement le contrôle de la guerre des drones ? – .

L’Ukraine a-t-elle trouvé une solution pour reprendre sérieusement le contrôle de la guerre des drones ? – .
L’Ukraine a-t-elle trouvé une solution pour reprendre sérieusement le contrôle de la guerre des drones ? – .

Il s’agit souvent de grosses machines, bien plus lentes que leurs versions kamikaze ou d’attaque. En allant glaner des informations au plus près du front ou derrière les lignes ennemies, en permettant de cibler des troupes ou des équipements que d’autres engins ou pièces d’artillerie peuvent ensuite cibler, les drones dits ISR ou ISTAR (pour « renseignement, surveillance, acquisition et reconnaissance de cibles ») jouent néanmoins un rôle majeur dans le conflit en Ukraine.

Selon certains combattants russes eux-mêmes, dont les commentaires ont été partagés, ils ont décidé d’exploiter.

Détruisez les drones ISR pour aveugler les Russes

La Russie, comme l’Ukraine, possède plusieurs types de ces « drones ISR ». L’Orlan-10, que Capital a décrit comme “conçu avec une bouteille en plastique et de l’adhésif”est sans doute l’un des plus emblématiques depuis le début de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie.

Le reste sous cette annonce


La nature prend son temps…
j’aime cette annonce !


La nature prend son temps…
j’aime cette annonce !

Ukraine – Russie : les avions militaires de la guerre

Comme d’autres modèles de reconnaissance et de renseignement, conçus notamment par la firme ZALA, l’Orlan est jugé bon marché (autour de 100 000 dollars pièce, tout de même). En lui fournissant des cibles précises, le drone kamikaze Lancet constitue un tandem de choc avec la terreur des Ukrainiens, comme l’explique le site spécialisé Inside Unmanned Systems.

Le reste sous cette annonce


La nature prend son temps…
j’aime cette annonce !

Pas cher, certes, mais tout est relatif. Car l’Ukraine, quant à elle, dispose de « drones d’interception » : très rapides, pilotés avec maestria par des experts en la matière, qui disposent désormais de leur propre branche armée comme l’expliquait récemment le blog Defence Lines de Philippe Chapleau, ils sont devenus un tout-en-un. arme destinée aux troupes de Kiev, notamment en attendant des armes occidentales plus spécialisées.

Comme pourraient le faire les armes anti-aériennes classiques, elles sont notamment utilisées pour détruire en vol les drones russes ISR, ce qui semble provoquer un léger vent de panique chez certains commentateurs repris par Sam Benett. « Il s’agit d’une évolution très alarmante, » explique un texte qu’il a repéré sur les réseaux russes, et traduit sur X. Si les gens ne meurent pas directement dans ces destructions, les conséquences pourraient être plus graves que celles de la livraison d’une douzaine de chars Abrams.»

Le reste sous cette annonce


La nature prend son temps…
j’aime cette annonce !


La nature prend son temps…
j’aime cette annonce !

Pour la Russie, un grand bond en arrière technologique

« De nombreuses unités dépendent de ces drones ISA (Orlan, ZALA, Supercam). Détruire nos « yeux » dans le ciel nous fera reculer d’une génération, nous obligeant à combattre en 2D, alors qu’ils continuent de mener une guerre en 3D. Les drones FPV ne coûtent presque rien, mais ce n’est pas le cas des grosses machines ISR.poursuit le commentateur russe.

Qui explique que le manque d’armes occidentales, notamment anti-aériennes, ait poussé l’Ukraine à utiliser ces drones d’interception ? « avec beaucoup de succès ». Selon lui, ils peuvent atteindre des vitesses de 500 kilomètres par heure, et sont suffisamment maniables pour être utilisés contre ces engins ISR, ou encore contre des drones d’attaque lente comme le Geran, cette version russifiée du Shahed iranien, qui pose tant de problèmes aux Infrastructures ukrainiennes.

Le reste sous cette annonce


La nature prend son temps…
j’aime cette annonce !

Selon l’observateur russe, ces engins kamikaze extrêmement rapides pourraient même, grâce notamment à leur relative discrétion dans les airs et au sol (“pas besoin d’un camion de plusieurs tonnes, deux hommes sur une moto peuvent en déployer un”), utilisé pour abattre des hélicoptères d’attaque russes, comme le Ka-52 Alligator, si efficace lorsqu’il est déployé à proximité du front.

Bref, de la même manière qu’elle s’efforce d’aveugler les défenses russes en ciblant systématiquement ses radars et sa défense anti-aérienne, en Crimée occupée notamment, l’Ukraine semble vouloir parfaire son travail en ciblant également les drones ISR qui, au front ou au derrière les lignes, se trouvent les maîtres d’orchestre d’appareils bien plus meurtriers.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Natation. A quelle heure et sur quelle chaîne TV regarder les championnats de France ce jeudi 20 juin ? – .
NEXT top 10 des départements où le prix des maisons de retraite est inférieur à 2 000 euros