Barella brille contrairement à Broja… Les tops et les flops

Barella brille contrairement à Broja… Les tops et les flops
Barella brille contrairement à Broja… Les tops et les flops

Ce samedi, l’Italie, championne d’Europe en titre, s’est imposée contre l’Albanie (2-1) au Signal Iduna Park de Dortmund.

HAUTS

Les intéressés à l’honneur

Il y avait quatre Intéristes titulaires ce samedi dans le onze de Luciano Spaletti. Parmi eux Alessandro Bastoni (défenseur central) et Nicolo Barella (milieu de terrain), buteurs au Signal Iduna Park de Dortmund pour l’entrée en lice des Italiens – champions d’Europe en titre, contre l’Albanie (2-1). Le premier a posé la tête sur un service de Pellegrini (11e), tandis que le deuxième décochait une frappe nette depuis l’extérieur de la droite ne laissant aucune chance au gardien Strakosha (16e). Un match réussi pour la Squadra Azzurra qui empoche les trois points et revient à égalité avec l’Espagne [victoire 3-0 contre la Croatie plus tôt dans la journée, NDLR]. De son côté, Barella signe une semaine complète après l’annonce mardi de sa prolongation de contrat jusqu’en 2029 avec l’Inter.

Nedim Bajrami dans l’histoire

23 secondes. C’est le temps qu’il aura fallu au milieu albanais pour tromper la vigilance de Donnarumma et ouvrir le score. Bajrami a profité d’une remise en jeu de Dimarco au milieu pour faire trembler les filets de la Squadra Azzurra. Une réalisation ultra-rapide synonyme de record. Le précédent était détenu par le Russe Dmitri Kirichenko qui ouvrait le score contre la Grèce le 20 juin 2004 lors de l’Euro 2004 après 67 secondes de jeu.

flops

L’Albanie manque d’oxygène

Attente, c’est le terme utilisé pour décrire la performance de l’Albanie ce samedi à Dortmund. Asphyxiés par le pressing italien et privés du ballon pendant une grande partie du match (32% de possession), les hommes de Sylvinho n’ont jamais réussi à prendre le contrôle de la partie. Deux maigres occasions de se mettre sous la dent – ​​dont le but offert par Dimarco – et puis plus rien. Dans le groupe « de la mort » en compagnie de l’Espagne, de la Croatie et donc de l’Italie, la tâche s’annonce d’autant plus compliquée pour les Albanais après cette défaite, eux qui disputent le deuxième Euro de leur histoire après celui de 2016.

Avant-centre en arrière-plan

Ce samedi, on ne pouvait pas compter sur les avant-centres pour faire trembler les filets. Gianluca Scamacca et Armando Broja, respectivement à la pointe de l’attaque pour l’Italie et l’Albanie, ne se sont pas montrés à leur avantage ce samedi soir. Le joueur de la Squadra Azzurra n’a pas réussi à faire la différence et à mettre en danger la défense adverse. Trois tirs tentés dont un contré par son propre partenaire Frattesi (48e). D’habitude si fort dos au but, il a été parfaitement muselé par Djimsiti – son coéquipier à l’Atalanta. Une première sur la scène internationale à oublier pour ceux qui veulent »entrez dans l’histoire de la Nazionale« . Son homologue albanais n’était guère plus inspiré. Une feuille de statistiques vierge qui n’a pas convaincu son entraîneur, contraint de le faire sortir à la 77e.e minute.

 
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