poursuite des frappes israéliennes au sud de Beyrouth ; sept personnes tuées par des roquettes dans le nord d’Israël

poursuite des frappes israéliennes au sud de Beyrouth ; sept personnes tuées par des roquettes dans le nord d’Israël
poursuite des frappes israéliennes au sud de Beyrouth ; sept personnes tuées par des roquettes dans le nord d’Israël

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a condamné jeudi une nouvelle attaque israélienne contre l’hôpital Kamal-Adwan, dans le nord de la bande de Gaza, qui a fait des blessés et endommagé des équipements essentiels. survie des patients.

« L’hôpital fonctionne à peine depuis le dernier raid. La dernière attaque met gravement en danger la vie des patients »Tedros Adhanom Ghebreyesus écrit sur « a touché un espace de stockage contenant des fournitures vitales de l’OMS apportées lors de missions complexes, ainsi que l’usine de dessalement et les réservoirs d’eau sur le toit de l’hôpital ».

« La situation sanitaire dans le nord de la bande de Gaza est épouvantable. Nous appelons chacun à protéger les hôpitaux et à respecter pleinement le droit international humanitaire. »ajoute-t-il.

Le 25 octobre, le ministère de la Santé de la bande de Gaza, administré par le Hamas, avait déjà accusé les forces israéliennes d’avoir pris d’assaut l’hôpital situé dans le camp de Jabaliya, où elles avaient lancé une vaste opération au début du mois. Des dizaines de membres du personnel ont été arrêtés, dont le Dr Mohammed Obeid, chirurgien orthopédiste travaillant pour Médecins sans frontières (MSF).

L’ONG, qui n’avait pas de nouvelles de lui, a annoncé jeudi « a été arrêté par les forces israéliennes avec plusieurs membres de l’hôpital Kamal-Adwan », le 26 octobre. « Nous sommes extrêmement préoccupés par la détention de notre collègue »souligne-t-elle.

« Nous avons officiellement demandé des informations aux autorités israéliennes sur le statut de détention du Dr.r Obeid, sa localisation actuelle et sa santé physique et mentale. Nous appelons à la protection de notre collègue, ainsi que de tout le personnel médical de Gaza qui travaille dans des conditions impossibles et est confronté à d’horribles violences alors qu’il tente de prodiguer des soins. »

 
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