Ayant oublié que ses compatriotes abhorrent toute forme de maltraitance animale, la gouverneure du Dakota du Sud, Kristi Noem, a sabordé sa candidature à la vice-présidence, tandis que d’autres républicains « MAGA » pratiquent l’art périlleux de la génuflexion pour s’attirer des soutiens. faveurs de Donald Trump avant la convention nationale de juillet. Décision dans les deux mois.
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Correspondant aux États-Unis
Par Maurin PicardPublié le 06/05/2024 à 20h30
Temps de lecture : 4 min
Correspondant à New York
EElle le croyait déjà. Kristi Noem, gouverneure trumpiste du Dakota du Sud, semblait tenir la corde dans la quête d’un futur « VP » (vice-président) par le candidat républicain à l’élection présidentielle du 5 novembre. l’équipe est désormais quasiment nulle. L’édile musclée de 52 ans, au visage lissé par la chirurgie esthétique, s’est en effet saborder dans les moindres détails en dévoilant un peu trop de détails dans son deuxième (!) mémoire à paraître ce mardi, intitulé Pas de retour en arrière. Elle raconte l’exécution de son chien de quatorze mois, prénommé Cricket, devenu incontrôlable lors d’une partie de chasse. “Ce genre de choses arrive tous les jours dans une ferme”, a argumenté Noem, alors que l’indignation montait après les premières fuites dans la presse. Donald Trump lui-même se serait dit « dégoûté ».
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