Une émotion collective. Vendredi 26 avril 2024, The Guardian indiquait que Kristi Noem, pressenti pour être la potentielle vice-présidente de Donald Trump, avait tué son chien. L’animal s’appelait Cricket et avait environ un an et deux mois. Une annonce qui allait de toute façon être révélée puisque la gouverneure républicaine du Dakota du Sud l’a racontée dans ses mémoires. L’ouvrage sera publié le 7 mai 2024. « Je détestais ce chien » qui avait notamment gâché, écrit-elle, une chasse au faisan « parce qu’il était surexcité ». L’élu a décidé de lui tirer dessus. « Ce n’était pas agréable, mais il fallait le faire. Et une fois que j’ai eu fini, j’ai réalisé qu’il y avait un autre travail désagréable à faire », se souvient-elle. En pleine campagne pour l’élection présidentielle de novembre 2023, ces révélations ont immédiatement provoqué un tollé général au sein de la population et sur les réseaux sociaux.
Dans le reste de ses mémoires, intitulé Pas de retour en arrière : la vérité sur ce qui ne va pas en politique et comment nous faisons avancer l’Amérique, Kristi Noem a raconté avoir tué une chèvre dans son ranch le même jour que son chien Cricket. Après avoir raté une première fois, la protégée de Donald Trump a tiré un deuxième coup de revolver. Elle a décrit l’animal comme « non castré et avec une odeur terrible qui avait l’habitude de charger ses enfants ». Dans l’opposition, des dizaines d’élus démocrates, dont des gouverneurs, ont commencé à poster sur les réseaux (…)
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