un refuge ne refuse jamais de soigner les animaux

un refuge ne refuse jamais de soigner les animaux
Descriptive text here

Un refuge pour animaux du Bas-Saint-Laurent a décidé de ne jamais refuser de soigner un animal dans le besoin en raison des coûts des soins depuis sa création il y a 10 ans.

« Ce n’est pas parce que cela coûte plus cher, ou parce que l’accès aux soins est moins facile qu’avant, que notre mission va changer ! Un animal qui arrive est blessé ou malade, on va aller trouver de l’argent pour le sauver », explique Andrée Boisselle, bénévole et responsable du soin des animaux à la Société de protection des animaux du littoral (SPAL), située à Saint-Anaclet-de-Lessard. , près de Rimouski.

>

>


Photo fournie par la Société de Protection des Animaux du Littoral

L’organisation fondée en 2013, qui aide actuellement 80 chats, ne pratique l’euthanasie que si un cas est “irrécupérable”, assure M.moi Boisselle. Le but est évidemment d’en sauver le plus possible, de leur donner une seconde vie, mais surtout de réduire au maximum la douleur des animaux.

“Nous avons beaucoup d’animaux qui arrivent en très mauvais état avec des traumatismes, des blessures dues à des accidents ou des maladies, donc ça augmente les coûts, d’autant plus que les frais vétérinaires ont également doublé”, poursuit celui-ci. qui est bénévole à la SPAL depuis 10 ans.

  • Écoutez l’entrevue de Clara Loiseau, journaliste au Journal de Montréal au micro d’Alexandre Dubé via QUB :
Des coûts qui explosent

Dans la plupart des cas, les animaux abandonnés ou errants sont retrouvés le week-end, car c’est le moment où il y a plus de monde qui se promène.

« Le problème, c’est que les coûts de consultation ces jours-là sont incroyables. En général, cela coûte entre 300 et 400 $ et on ne fait pas grand-chose avec ça », explique M.moi Boisselle.

>

>


Photo fournie par la Société de Protection des Animaux du Littoral

Et lorsque l’animal est en mauvais état, la facture peut monter très vite, explique-t-elle en prenant l’exemple d’un chat récemment arrivé dont la facture s’élève à plus de 1 400 dollars.

Des canettes qui sauvent

Si la SPAL réussit à poursuivre sa mission, c’est parce qu’elle peut compter sur l’aide de nombreux bénévoles et surtout sur les dons du public.

« Nous faisons beaucoup de collectes de fonds pour certains animaux et cela nous aide énormément. »

Elle s’estime chanceuse de pouvoir compter sur le soutien de nombreux donateurs. Mais c’est surtout grâce aux dons de canettes consignées que le refuge de la Société de Protection Animale du Littoral survit, affirme M.moi Boisselle.

>

>


Photo fournie par la Société de Protection des Animaux du Littoral

« Cela couvre une certaine partie des frais vétérinaires et si nous n’avions pas cela, ce serait très difficile. Cela nous permet d’avoir un financement continu », explique-t-elle.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Le pétrole tombe sur les espoirs d’une trêve à Gaza
NEXT Del Campo, buteur pour Ottawa