La justice italienne privilégie la piste de la préméditation

La justice italienne privilégie la piste de la préméditation
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Par Le Figaro avec l’AFP

Publié
Il ya 1 heure,

Mise à jour il y a 36 minutes

Le corps de la victime, une jeune femme de 22 ans originaire de Saint-Priest, en banlieue lyonnaise, a été retrouvé vendredi dans une église en ruine du Val d’Aoste. (Photo d’illustration)
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Son compagnon, un homme de 21 ans de nationalité italienne, a été interpellé mercredi soir à Lyon. Il était recherché depuis fin mars par le parquet de Grenoble pour violation de son contrôle judiciaire, mais n’a jamais été condamné, selon le procureur.

La justice italienne a ouvert une enquête pour meurtre avec préméditation après la mort d’une jeune Française dans le Val d’Aoste, dont le compagnon a été arrêté à Lyon (sud-est), a annoncé jeudi le parquet.

« L’accusation que nous portons est celle de meurtre aggravé par préméditation et relation affective avec la victime »a déclaré jeudi le procureur général d’Aoste, Luca Ceccanti, au cours d’une conférence de presse. “C’est évidemment un féminicide”a-t-il ajouté, excluant l’hypothèse d’un enlèvement.

Le suspect sous contrôle judiciaire

Le corps de la victime, une jeune femme de 22 ans originaire de Saint-Priest, en banlieue lyonnaise, a été retrouvé vendredi dans une église en ruine du Val d’Aoste, dans le nord de l’Italie, et portait de nombreuses blessures par arme blanche. .

Son compagnon, un homme de 21 ans de nationalité italienne, a été interpellé mercredi soir à Lyon. Selon le procureur de Grenoble Éric Vaillant, il était recherché depuis fin mars par le parquet de Grenoble pour la violation de son contrôle judiciaire, mais n’a jamais été condamné. Le couple, qui se rendait régulièrement en Italie selon les enquêteurs italiens, a traversé la frontière le 25 mars.

Le suspect a été placé sous contrôle judiciaire le 13 janvier « suite à sa saisine pour violences conjugales et menaces afin que la victime retire sa plainte ». Il lui était notamment interdit d’entrer en contact avec la victime, a précisé M. Vaillant. Il devait être jugé le 3 mai à Grenoble.

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