PASQuelques mois après la disparition d’Emile, toutes les pistes sont toujours étudiées par les enquêteurs. La piste criminelle comme la piste accidentelle restent des options crédibles et les travaux de la Section de Recherche de Marseille vont désormais poursuivre ses recherches pour découvrir de nouveaux éléments exploitables dans ce domaine.
Le Haut-Vernet est donc toujours passé au peigne fin par une dizaine de légionnaires du deuxième régiment étranger du génie de Saint-Christol (Vaucluse).
« C’est un travail exceptionnellement minutieux. Des recherches extrêmement minutieuses, un peigne fin avec l’IRCGN, des unités formées et le renfort des légionnaires”, indique une Source à BFM TV. «C’est une unité spécialisée de l’armée, capable de mener des recherches en profondeur. Ils savent par exemple intervenir pour retrouver des caches d’armes ou des objets divers à l’aide d’un matériel adapté. »
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« Fermez les nouvelles portes »
Ces recherches pourraient permettre de découvrir certains nouveaux vêtements du petit garçon, qui pourraient être des éléments essentiels de l’enquête. « Les évaluations sur les vêtements prendront plus de temps que sur les os. Cette étape nous amène loin et les résultats nous permettront de fermer de nouvelles portes », affirme un gendarme.
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Suffisant pour éteindre la piste accidentelle ou criminelle ? Quoi qu’il en soit, le travail des enquêteurs n’est pas facilité par l’attention médiatique que suscite cette affaire. « Depuis dix jours, il ne reste que l’hypothèse de l’accident qui occupe les articles de presse. Ce que nous aurions dû faire, ce n’est pas la recherche», affirme un enquêteur.
