Le premier CPVS a ouvert en 2017 dans le cadre d’un projet pilote. Le gouvernement actuel a décidé de le développer et de pérenniser ces structures.
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Responsable du pôle Idées
Par Marine BuissonPublié le 28/03/2024 à 00:01
Temps de lecture : 2 minutes
jeil y a quelques mois, le documentaire émouvant Godvergeten a mis en lumière des vies brisées par les violences sexuelles, le silence et l’inaction des pouvoirs publics. A souligné la puissance désastreuse de l’agresseur et les conséquences dramatiques que ces violences perpétrées il y a quarante ans ont encore sur ces enfants devenus adultes. Et la nécessité absolue d’écouter, de rendre justice pour commencer à réparer. Que l’on soit victime des agissements d’un curé, d’un parent, d’un patron, d’un conjoint, d’un inconnu.
Un pas de plus vers une protection renforcée des victimes a été franchi ce mercredi. La commission de la santé et de l’égalité des chances a approuvé le projet de loi qui fixe l’existence, le fonctionnement et le financement des Centres de gestion des violences sexuelles (CPVS). Une inscription dans la loi qui permettra au système de ne pas être démantelé par une potentielle future coalition moins encline à lutter contre les violences sexuelles.
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