Apprendre à connaître Aatos Koivu, 70e choix au total des Canadiens de Montréal

Apprendre à connaître Aatos Koivu, 70e choix au total des Canadiens de Montréal
Apprendre à connaître Aatos Koivu, 70e choix au total des Canadiens de Montréal

Avec leur premier choix au deuxième jour du repêchage de la LNH, les Canadiens de Montréal ont dû attendre le troisième tour pour faire leur premier choix, mais ils sont retournés vers le futur en sélectionnant Aatos Koivu avec le 70e choix.

Koivu est le fils de l’ancien capitaine des Canadiens Saku, et il sera sûrement un favori des fans, peu importe l’évolution de sa carrière.

Lieu de naissance: Turku, Finlande
Date de naissance: 22 juin 2006
Tirs : Droite
Position: Centre
Hauteur: 6’0″
Poids: 170 livres.
Équipe: TPS (Finlande)

Perspectives d’élite

Koivu est plus grand que son père, et sa courbe de développement est ce qui l’a conduit à gravir les échelons du repêchage. Au début de la saison, il n’avait pas encore joué un seul match pour la Finlande au niveau U18, et à la fin de l’année, il avait déjà disputé quatre matchs seniors de Liiga et était un solide contributeur à l’équipe finlandaise du Championnat du monde U18. Le développement est également venu avec sa taille, passant de 5’10”, 126 lbs à plus de 6’0″ au cours de la dernière année. Il a encore besoin d’augmenter sa force, mais cela peut venir avec le temps à mesure qu’il grandit dans son cadre. Ce qui lui arrive, c’est sa performance dans les batailles de plateau et sa tendance à les perdre.

Il est un centre typique dans le sens où il joue sur une distance de 200 pieds, peut soutenir les deux extrémités de la patinoire sans la rondelle et cherche toujours la bonne chose à faire. Il ne perdra jamais de jeu. Bien que son coup de patin soit moyen, son accélération lui permet de créer et de gagner des courses vers les rondelles pour se faufiler derrière la défense.

Contrairement à son père, Aatos est connu pour avoir un excellent tir. Il a pu devenir une arme sur le demi-mur en avantage numérique (aussi appelé Ovechkin) et peut lancer la rondelle avec l’une ou l’autre jambe. La capacité de meneur de jeu n’est pas l’un de ses atouts, car il n’a pas encore démontré cet aspect de son jeu, mais il fait des passes courtes et intelligentes en zone offensive pour essayer d’ouvrir les choses pour son équipe. Certains recruteurs, cependant, aiment sa façon de voir le jeu et disent qu’il est meilleur avec la rondelle que sans elle.

De l’autre côté, une grande partie de sa production s’est déroulée en avantage numérique, ce qui signifie que son impact à force égale laissait un peu à désirer.

Le projet de suivi de Mitchell Brown et Lassi Alanen

Le graphique ci-dessus montre les problèmes rencontrés par Koivu à cinq contre cinq, mais ce qui ressort comme positif, ce sont ses jeux défensifs, qui montrent que si la production peut rattraper son retard, il existe une base solide sur laquelle travailler. C’est un patineur moyen, mais son moteur et son acharnement lui permettent de jouer plus vite que ce à quoi on pourrait s’attendre.

Koivu était 86e au classement général, avec un vote élevé de 64 de Chris Peters chez FloHockey et un vote bas de 118 chez Dobbers Prospects, avec Elite Prospects, Craig Button, Scott Wheeler et Will Scouch ne le classant pas. Certains craignent que la courbe de développement qu’il a eue au début de la saison dernière n’ait pas continué à croître d’ici la fin de la saison, mais qui sait ce qui l’attend et quelles compétences peuvent se développer au fil du temps.

Évidemment, les lignées familiales seront l’histoire de ce choix, mais il y a ici un joueur qui a une courbe de développement abrupte et intrigante, et compter sur un Koivu est quelque chose qu’une génération ou plus de partisans des Canadiens ont appris à ne pas faire.

 
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