L’utilisation d’un agent conversationnel comme Chatgpt est le jeu de l’enfant. L’outil, bien que révolutionnaire, conduit parfois à des maux de tête dans des établissements éducatifs tels que l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), où certains se demandent comment jongler avec cette innovation technologique.
Sans généralisation, nous observons toujours, dans certains cas, fonctionnent un peu trop parfaits
dit le professeur de science politique Michel Roche. Lorsque les exercices sont trop bien réussis, il a la puce à l’oreille. Il devait parfois affronter certains étudiants.
Il y a à peine quelques années, il a facilement détecté le plagiat. Il n’a eu qu’à faire glisser les passages douteux dans un moteur de recherche pour déterminer leur origine, mais l’arrivée de l’intelligence artificielle, en particulier le chatppt, modifie la situation.
De manière globale, pour l’humanité, je suppose que c’est plutôt une bonne chose. Nous parlons de médecine, de succursales comme ça, mais en termes de formation en sciences sociales, c’est plutôt un mal de tête à l’époque qui coule
Il mentionne.
L’utilisation de Chatgpt soulève de nombreuses questions. (Photo des archives)
Photo: - / L’épicerie
Le puzzle est que les outils qui existent sont puissants, accessibles et leur interdiction sont impossibles.
Nous en parlons de plus en plus entre nous et nous commençons également à nous adapter à cette nouvelle réalité, mais le moment où nous nous adaptons, il peut y avoir de nouvelles technologies qui rendront nous la chose encore plus difficile
dit-il en souriant.
Loin d’être réfractaire, Michel Roche admet que l’intelligence artificielle peut être utile. Cependant, il estime que le processus intellectuel des étudiants est essentiel dans un cadre académique.
Les étudiants sont également formés pour dormir leurs réflexions sur le papier sur plusieurs pages. S’ils ne s’engagent plus dans ce type d’exercice, le résultat est que la formation perdra beaucoup de valeur
Il avance.
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Michel Roche est professeur de sciences politiques à l’UQAC.
Photo: - / Catherine Fillion
Réflexion sur le sujet
L ‘UQAC Proposé des principes directeurs depuis novembre concernant l’utilisation de l’intelligence artificielle.
En termes d’enseignement, le choix d’intégrer ou nonIa Et la façon de le faire, si tel est le cas, est entièrement l’enseignant. Il est important de spécifier les paramètres de l’utilisation d’outils deIa Génératif dans le plan de cours avec les conditions dans lesquelles l’utilisation est autorisée, le cas échéant
mentionne entre autres l’établissement du document.
L ‘UQAC a également formé une sous-location sur l’utilisation de l’intelligence artificielle en 2024 pour réfléchir à la question et aider les enseignants à démystifier leIa.
Même si cela peut être effrayant, il bouleverse ces outils, je trouve que c’est une excellente occasion d’innover dans nos pratiques éducatives. Je pense que c’est ce que vous avez à voir, le positif de ces outils, puis j’encourage mes collègues à les explorer, à les utiliser, puis à penser à autrement leur façon d’enseigner à profiter des outils de l’intelligence artificielle
Mentionne le chef du sous-comité, le professeur de mathématiques Hugo Tremblay.
Une première formation sur le sujet a été mise en place pour les enseignants l’automne dernier.
Nous avons déjà des principes directeurs auUQACMais nous voulons qu’il soit transformé en politique
continue Hugo Tremblay.
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Le professeur de mathématiques Hugo Tremblay est également responsable du sous-comité chargé de définir une ligne directrice concernant l’utilisation de l’intelligence artificielle à l’UQAC.
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Étudiants concernés
Mais les étudiants se demandent également. L’intelligence artificielle et, surtout, ce qu’ils ont le droit de le faire est une préoccupation, assure le coordinateur du Mage-Uqac, Emma Stintzi.
Nous savons qu’il existe une formation qui est offerte aux enseignants. Nous pensons qu’une formation qui serait également donnée aux étudiants pour savoir comment utiliser l’intelligence artificielle sans réduire votre apprentissage, nous pensons que ce serait pertinent
elle affirme.
Plusieurs sites sont en cours à laUQAC Pour déterminer comment mieux intégrer leIa Dans les projets. Selon le professeur Hugo Tremblay, l’un des principaux défis, le professeur Hugo Tremblay, est la vitesse que la technologie évolue, qui est là pour rester.
Dans ses principes directeurs, leUQAC résidence prudente et indique qu’il serait prématuré de proposer un cadre juridique spécifique
Mais l’établissement spécifie dans le document que La création d’autres universités, il semble souhaitable de marquer davantage cette utilisation pour équiper la communauté universitaire
.
Pour sa part, Hugo Tremblay est conscient que vous devez trouver un moyen d’éviter les glissement.
Nous n’y échapperons pas. La technologie est là. Cela évoluera. Il continuera d’évoluer très rapidement. Vous devez vous adapter. Nous n’avons pas le choix
dit-il.