Un sentiment d’impuissance
Pour exister, il aurait fallu vraiment élever le niveau technique et athlétique. Nous avons beaucoup souffert, nous ne nous sommes pas créé beaucoup d’occasions. C’est un sentiment d’impuissance, oui, par rapport à cette équipe marseillaise. Il y a une grosse différence ce soir entre les deux équipes. La marche était trop haute face à un groupe qui joue le titre.
Le plan de départ
Nous voulions être solides face à une équipe très technique, capable de percer dans beaucoup de formations, notamment à l’extérieur. Il fallait faire mieux et récupérer des ballons. Je pensais que nous pourrions en obtenir davantage, mais nous n’avons pas été assez agressifs. On s’attendait à ce que cet adversaire passe par l’axe en additionnant les chiffres.
Des absences qui font mal
Nous avons eu quelques problèmes d’absences et nous avons dû les surmonter. Nous avons utilisé un autre système, mais je ne pense pas que ce soit le problème. Pour exister, il faut être beaucoup plus agressif, beaucoup plus technique. Dès qu’on amène un peu plus de vitesse, c’est mieux, à l’image de la première occasion de Zuriko Davitashvili, mais on a du mal à la trouver. Il faut aussi plus de profondeur et dans ce registre, certains, comme Ben Old, sont actuellement blessés. Cela nous manque.
Sénégal