Hummel en force
Pas moins d’une dizaine d’équipementiers sont représentés dans la troisième division française. Mais l’un d’eux, à savoir Hummel, se taille la part du lion en habillant cinq clubs (Concarneau, Bourg-en-Bresse, Orléans, Quevilly et Valenciennes).
Une curiosité puisque bien qu’il se soit diversifié, l’équipementier danois est principalement spécialisé dans le handball. Nancy et Sochaux ont fait confiance à l’une des trois marques françaises référencées. L’ASNL est en partenariat avec Kipsta (Decathlon), tout comme Nîmes.
Quant au FCSM, il devient en 2023 le premier club de Football professionnel équipé par la marque drômoise Eldera. Le troisième, Skita (dont le siège est dans le Val de Marne), habille le Paris 13 Atletico. On compte également trois équipementiers italiens (Kappa, Errea et Macron), deux allemands (Adidas et Puma) et un américain (Nike).
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Des psychiatres comme sponsors !
Vous pouvez tout retrouver parmi les 17 partenaires maillots (enfin 16, on vous explique ça plus bas…) du National. La palme de l’originalité revient sans conteste à Aubagne où le sponsor n’est autre qu’un cabinet de psychiatre (« Psycher »).
Sinon, c’est varié, alors.
With construction (Le Mans, Dijon), car dealerships and car rental companies (Nancy, Valenciennes, Châteauroux), stores or sports complexes (Boulogne, Bourg-en-Bresse), banking/insurance (Paris 13, Quevilly), medical and cosmetic products (Nîmes, Villefranche), industrial equipment (Sochaux), waste recovery (Concarneau) and an airline company (Rouen).
Un maillot délicieusement rétro
En termes de design et de couleurs, un maillot National se démarque des autres.
Celui du FC Versailles. Ses concepteurs ont opté pour un véritable parti pris par rapport à l’histoire et à l’image de la ville, et de son château bien sûr : couleur bleu ancien, style polo, police de caractères distinguée et surtout, pas de sponsor ! Un maillot rétro qui se démarque de ses pairs.
Sinon, peu de tuniques sont uniques. A noter cependant que celui du Paris 13 Atletico peut se voir attribuer le prix de la couleur la plus flashy. Celui d’Aubagne semble tout droit sorti d’un championnat sud-américain.
Et que certains cachent des détails qui leur donnent une touche d’authenticité : comme ce plan de ville incrusté sur le maillot du Mans, ces monuments de la ville sublimés sur celui de Dijon ou ce chardon sur celui de Nancy. Une liste non exhaustive.
A Nîmes le moins cher de tous
Quatre clubs n’ont pas encore commercialisé leurs maillots sur internet (Bourg-en-Bresse, Boulogne/Mer, FC Rouen et Aubagne). Les treize autres sont disponibles à la vente dans une fourchette de prix allant de 60 à 85 euros. Le moins cher est celui de Nîmes et le plus cher celui de… Versailles. Ceux de Nancy (65 €) et de Sochaux (70 €) sont plutôt bon marché.
Sénégal
