A leur tour François Gabart, et l’équipage du SVR Lazartigue, envoient le code Orange un départ possible sous 72 heures
sur le trophée Jules Verne.
Comme Sodebo et François Gabart, les routeurs du SVR Lazartigue ont repéré une fenêtre météo qui pourrait être très intéressante pour atteindre le Cap de Bonne-Espérance dans un temps plus court que celui de Francis Joyon, actuel recordman sur Idec, en 40 jours 23 heures.
“S’il faut attendre, nous attendrons”
Pour ce faire, Gabart a emmené avec lui cinq marins expérimentés : Tom Laperche, Amélie Grassi, Pascal Bidégorry, Antoine Gautier et Emilien Lavigne.
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Nous sommes prêts, mais s’il faut attendre, nous attendrons, continues François Gabart. Nous avons évidemment beaucoup d’échanges avec la cellule de routage. La visibilité depuis Ouessant pour descendre le plus rapidement possible l’Atlantique Nord est encore assez bonne. Ce qui est plus difficile est de synchroniser ces premiers jours de navigation avec l’idée d’attraper une dépression au large du Brésil et d’avoir un anticyclone venant de Sainte-Hélène le plus au nord-est possible pour frapper l’Atlantique sud au plus vite. possible
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