Belanov met en avant l’exploit de l’équipe du Maroc et remet en question l’idée selon laquelle l’Euro est plus compétitif que la Coupe du monde. Il explique que la Coupe du monde attire les meilleures équipes de tous les continents, ce qui fait qu’il est difficile de dire que ces équipes sont moins compétitives que celles d’Europe. Il prend l’exemple de l’équipe marocaine, souvent sous-estimée, mais qui a réussi à battre des équipes européennes de renom comme le Portugal, l’Espagne et la Belgique, atteignant même les demi-finales de la Coupe du monde. Il évoque également l’équipe argentine, actuellement au sommet du monde, qui a remporté ce prestigieux tournoi.
Évoquant ses souvenirs de l’Euro 1988, Belanov se souvient de la finale où il avait raté un penalty décisif. Placé pour la première fois au poste de milieu droit par l’entraîneur Lobanovsky, il avoue ne pas être à l’aise à ce poste, habitué à jouer plus vers l’avant. Il admet sa fatigue au moment de tirer le penalty et rappelle que même des légendes comme Pelé, Maradona et Platini ont connu des échecs similaires.
Malgré cette déception personnelle, Belanov souligne qu’avant cet incident, il avait transformé 17 penaltys consécutifs, soulignant son engagement et sa détermination. Il conclut en regardant vers l’avenir, optimiste pour l’Euro à venir, un tournoi rempli d’histoires captivantes, de victoires et de succès. Il exprime son soutien à son équipe nationale, espérant que les supporters pourront constater l’esprit sportif et le talent exceptionnel des meilleurs joueurs du pays.
