l’essentiel
Les deux membres du couple, qui entretenaient une liaison depuis plusieurs années, ont porté plainte l’un contre l’autre.
Après les projecteurs de la notoriété, place aux heures plus sombres. C’est, du moins, un dénominateur commun entre Julie Rignault, candidate de l’édition 2024 du jeu de télé-réalité Koh-Lanta, dont elle a atteint la finale ; et Miguel Martinez, ex-cycliste français aux multiples titres. Son palmarès comprend : une médaille d’or olympique en VTT, remportée à Sydney en 2000, année où il fut également sacré champion du monde et champion d’Europe.
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Le couple, basé dans la région de Nevers (Nièvre), est séparé depuis quelques mois, après avoir partagé une histoire d’amour de trois ans et demi. Et la séparation est pour le moins douloureuse, comme le révèle Le Journal du Centre : chacun des deux membres de l’ex-couple a porté plainte l’un contre l’autre.
Selon le quotidien, l’histoire entre Julie (37 ans) et Miguel Martinez (48 ans) s’est terminée en janvier dernier, un peu plus de 6 mois après la fin du tournage de Koh-Lanta (avril-juin 2023), et un un peu plus d’un mois avant le début de la diffusion TV (mi-février).
Julie a porté plainte pour harcèlement et violation de domicile contre Miguel Martinez, qui a été déféré devant le tribunal correctionnel de Nevers après avoir été placé en garde à vue. Selon la candidate, l’ancienne cycliste aurait cherché à lui nuire en divulguant des informations sur son parcours dans l’émission, alors que cette dernière est soumise à un accord de confidentialité.
Miguel Martinez aurait également, selon Julie, tenté de contacter des membres de l’organisation Koh-Lanta afin de ternir son image, les informant d’un passé de toxicomane. Mais aussi, tricherie possible lors d’un des événements éliminatoires de Koh-Lanta.
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L’ex-champion de VTT a, de son côté, également porté plainte contre Julie pour « menace de délit contre des personnes ayant reçu l’ordre de remplir une condition ». Miguel Martinez a confié à nos confrères avoir été victime d’une agression à son domicile le 8 mars, au cours de laquelle « deux coups de feu » ont été tirés sans le blesser, selon lui. « Depuis, je suis très peu venu dans la Nièvre. Cette histoire me ronge… » confie-t-il à Journal du Centre.
Une prétendue agression qui serait survenue quelques jours après un appel téléphonique anonyme d’une personne menaçante, lui enjoignant de ne plus faire de mal à Julie Rignault.
Sur ces faits, « l’enquête est en cours » précise le procureur de la République de Nevers, parlant de « faits non encore qualifiés ».
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