Pour l’éminent British Medical Journal, les vaccins et le confinement ont causé d’innombrables morts. Données à l’appui – .

Pour l’éminent British Medical Journal, les vaccins et le confinement ont causé d’innombrables morts. Données à l’appui – .
Pour l’éminent British Medical Journal, les vaccins et le confinement ont causé d’innombrables morts. Données à l’appui – .

C’est une vraie bombe. Données à l’appui, les scientifiques, loin de tout soupçon, ont évoqué les conséquences des restrictions comme facteurs indéniables de la surmortalité des années 2021-2021 :

« Depuis l’apparition de la pandémie de COVID-19, la surmortalité inclut donc non seulement les décès dus à l’infection par le SRAS-CoV-2, mais aussi des décès liés aux effets indirects des stratégies de santé pour lutter contre la propagation du virus et de l’infection.

« Les pays du monde occidental ont rapidement mis en œuvre des mesures de confinement (telles que le confinement, la fermeture des écoles, l’éloignement physique, les restrictions de voyage, la fermeture d’entreprises, les ordonnances de séjour à la maison, les couvre-feux et les mesures de quarantaine avec suivi des voyages) pour limiter la propagation du virus. Cependant, ces interventions non pharmaceutiques ont eu des effets indirects néfastes. (tels que les préjudices économiques, l’accès limité à l’éducation, l’insécurité alimentaire, la maltraitance des enfants, l’accès limité aux soins de santé, la perturbation des programmes de santé et les problèmes de santé mentale) qui ont augmenté la morbidité et la mortalité dues à d’autres causes. [que le Covid-19].»

Les populations vulnérables nécessitant un traitement médical complexe, comme les patients atteints de maladies cardiovasculaires, de maladies cérébrovasculaires, de diabète et de cancer, ont été touchées par ces restrictions en raison de l’accès limité aux services médicaux et de leur prestation.

Selon le même, les effets secondaires des vaccins étaient «ci-dessousestimé« . Et de rappeler les tests Pfizer qui avaient mis en évidence «un risque 36 % plus élevé d’événements indésirables graves dans le groupe vacciné» par rapport aux individus à qui un placebo avait été administré.

Par définition, ces effets indésirables graves entraînent la mort, mettent la vie en danger, nécessitent une hospitalisation (ou sa prolongation) et entraînent une invalidité/incapacité persistante importante. (…). LLa plupart de ces effets indésirables graves sont liés à des affections cliniques courantes, par exemple un accident vasculaire cérébral ischémique, un syndrome hémorragie coronarienne ou cérébrale aiguë.

Les professionnels de la santé et les citoyens ont signalé des blessures graves et des décès après vaccination dans diverses bases de données officielles du monde occidental, telles que VAERS aux États-Unis, EudraVigilance dans l’Union européenne et Yellow Card Scheme au Royaume-Uni. »

Dans leurs conclusions, les scientifiques qui déplorent que «les autopsies étaient rarement pratiquées » inviter les gouvernements à enquêter :

Quant à nos concitoyens les plus enthousiastes aux mesures restrictives, prendront-ils acte des scandales, études et fuites successifs mettant à mal les décisions prises pendant l’épidémie ?

Rien n’est moins sûr.

 
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