votez pour le meilleur jeune du département

l’essentiel
Vous avez rendez-vous jusqu’au 10 novembre 2024 au soir pour voter en ligne et élire le meilleur jeune rugbyman du Loto. Le gagnant sera récompensé lors d’une importante soirée départementale de rugby qui se tiendra le 21 novembre à Castelnau-Montratier.

Ils sont de retour ! Trophées de rugby amateur organisés par La Dépeche du Midi le comité départemental du rugby du Lot, ils reviennent pour la troisième édition. Pour célébrer les acteurs de cette saison 2023/2024, marquée par de belles réussites sportives dans notre département, chaque rouage de la discipline sera célébré à travers la remise de nombreux prix.

Il y a aujourd’hui de la place pour les meilleurs jeunes du département. Il y a quatre nominés et l’un d’entre eux tentera, grâce à vos votes, de devenir vainqueur de ces trophées du rugby amateur version 2024. Le jury a décidé de mettre quatre d’entre eux en compétition : Tatiana Fau, Inès Campcros, Flavie Fregeac et Suzie. Belvéze.

Tatiana Fau (GSF)

Ne vous laissez pas tromper par son regard pétillant et son sourire malicieux, avec son fort caractère, sur le terrain, Tatiana Fau est une redoutable guerrière, respectée par ses coéquipières et craint par ses adversaires. Étudiante au lycée Champollion, elle envisage une future carrière dans le marketing, idéalement dans le domaine du sport bien sûr. C’est son cousin Mathéo qui l’initie au rugby dans le jardin familial, un espace qui révèle vite son talent, devenu trop petit pour ses qualités. Direction donc la cour de récréation de Londieu et l’école de rugby GSF, où Tatiana s’est immédiatement mise à l’épreuve. Première chez les U14, elle s’est fait remarquer sur le troisième trio avec ses tacles dévastateurs.

Tatiana Fau (GSF)
DDM-JC Boyer

Désormais junior, elle a échangé le n°7 contre le n°15, un poste d’arrière qui lui va comme un gant. Sa vitesse, ses coups de pied et ses appuis font des miracles, mais ce n’est pas tout : « C’est un rôle que j’aime beaucoup – explique-t-elle en souriant – À partir de là, nous avons une vision globale du match et j’aime voir mes coéquipières avancer et franchir la ligne. ligne de l’avantage. Puis, avec un éclat malicieux, il avoue : « C’est vrai, je déteste perdre ! »

Inès Campcros (Saint-Céré)

Joueuse de rugby cm2, initiée par son frère et son cousin, Inès Campcros fait preuve d’un enthousiasme inépuisable : « Le rugby est vraiment une passion qui me procure encore beaucoup de plaisir. Notamment à travers l’esprit d’équipe, l’entraide dans les difficultés. Et même si on a des adversaires sur le terrain, on s’entend très bien dans la vie. Cela m’a ouvert mon réseau d’amis, dans les équipes du Lot, puis au niveau régional, puis partout en …” Originaire de Mayrinhac-lantour, Inès Campcros a suivi un rythme d’entraînement quasi quotidien ces dernières années, appréciant les mérites de cette le sport comme « cet esprit où il faut tout donner, tout donner et sentir qu’on sera toujours soutenu par quelqu’un parce que parfois c’est vraiment dur, et quand le mental prend le pas sur le physique, notre coéquipier est là pour nous aider à relever la tête .

Inès Campcros (Saint-Céré)
DDM

Malgré l’enthousiasme, et après avoir pensé à devenir professionnelle, Inès commence à ralentir le rythme avec trois entraînements hebdomadaires : « le but pour moi c’est de m’amuser, mais de prendre le relais plus forcément. En faire un métier, c’est compliqué.” dans le rugby féminin», observe la joueuse de 19 ans. “J’aimerais garder le rugby comme passion, sans problèmes.” La jeune sportive qui exerce comme aide-soignante dans une Epadh souhaite se lancer dans le métier d’infirmière. Voici le conseil qu’il donne aux jeunes rugbymen : « Ne vous découragez pas, car nous serons là pour vous aider. Vous pouvez venir nous poser de nombreuses questions, nous serons là.”

Flavie Frégeac (RCBBV)

Lorsqu’elle était plus jeune, Flavie passait ses dimanches à encourager son papa au stade de la Bourgnatelle, et ses samedis à accompagner son frère aux entraînements à l’ERBBV. Elle adorait aider les entraîneurs à placer des blocs pour mettre en place un exercice, puis entendre les gens lui dire « essayez » qu’elle avait commencé à 10 ans en U12. Elle joue au ballon ovale depuis maintenant neuf ans et est entrée dans la cour des grands cette année à sa première année en tant que senior au RRNQ. Flavie a découvert dans ce milieu sportif une ambiance dans laquelle chacun trouve sa place et surtout de la cohésion.

Flavie Frégeac (RCBBV)
DDM

Sélectionnée en équipe du Lot, en équipe d’Occitanie puis en top 100, elle avoue avoir trouvé dans toutes ces différentes compétitions une similitude, une fraternité. Une amitié qui dure, c’est vrai, comme il le dit. Ce sport l’amène à se dépasser, “lâcher prise sur sa vie active, se défouler” nous confie-t-elle. Quoi de plus important pour une fille qui entre dans la vie adulte que de trouver un moment pour vivre uniquement pour elle-même ! Fla, son surnom, nous avoue qu’elle aime l’adrénaline d’avant-match. Mais après une bouffée de ventoline, il replonge dans sa bulle et analyse l’équipe adverse.

Suzie Belvèze (COC)

J’ai commencé le rugby il y a 3 ans et cette année je débute ma quatrième et deuxième saison à Blagnac. Quand je jouais à Castelnau je jouais avec les garçons et j’ai eu l’occasion de faire de nombreuses sélections féminines et quelques sélections mixtes avec Lot. Je suis ensuite arrivé à Blagnac en tant que cadet élite et j’ai également intégré la section rugby du lycée Bellevue. J’avais envie de changer de sport et j’aimais le rugby car il y a beaucoup de mouvement et tout le monde peut jouer quel que soit son physique. Je suis allé à Castelnau-Montratier parce que c’était le club le plus proche de chez moi et il y a un super esprit de famille. J’ai pu rencontrer tellement de gens merveilleux.

Suzie Belvèze (COC)
Suzie Belvèze (COC)
DDM

Sur le plan académique je suis aujourd’hui au lycée Bellevue où je suis en section rugby et je suis en 1ère générale, mathématiques physique chimie et SVT. Je n’ai pas vraiment d’idée de carrière ou de domaine futur pour le moment, mais je pense que j’aimerais travailler dans le secteur médical, social ou scientifique. Je pense que mes meilleurs souvenirs de rugby sont tous les moments où nous nous sommes réunis. J’entends par là les instants avant et après les matchs, en dehors du terrain, où l’on retrouve la cohésion d’un groupe, d’une équipe. Ces moments forts avant un match important où l’on se dit des choses et restons soudés pour ensuite se libérer sur le terrain. J’aimerais pouvoir continuer à jouer au rugby le plus longtemps possible, avoir la chance de faire des sélections de haut niveau et essayer d’aller le plus loin possible. Avant de jouer au rugby j’ai joué au basket pendant presque 7 ans au sein du club de Vazerac et je pense que ces années m’ont beaucoup servi et m’ont permis de développer un esprit de cohésion.

Je tiens vraiment à remercier mes entraîneurs du COC sans qui je n’aurais jamais pu atteindre le niveau élite à Blagnac et qui m’ont encouragé à viser ce niveau supérieur. Je pense que Castelnau est un excellent club formateur et qu’on peut les remercier car cette année il y a trois filles formées au COC qui jouent à Blagnac.

 
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