L’un des plus grands fans de Patrice Bergeron sera sur la glace du Centre Vidéotron jeudi soir

L’un des plus grands partisans de Patrice Bergeron sera sur la glace du Centre Vidéotron jeudi soir, puisqu’il participera à la rencontre entre les Kings de Los Angeles et les Bruins de Boston, avant laquelle le Québécois sera à l’honneur. «J’ai toujours dit que je voulais devenir un petit Patrice», a rappelé Phillip Danault, à la veille du premier match préparatoire de son équipe au Québec.

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Danault a huit ans de moins que le six fois vainqueur du trophée Selke, décerné au meilleur attaquant défensif de la LNH.

Joueur qui excelle également en zone défensive, l’ancien joueur de centre du Canadien suivait déjà le chemin de Bergeron avant même de faire ses débuts dans la LHJMQ.

«Je voulais suivre ses traces», a expliqué Danault mercredi. Je voulais exceller défensivement, mais aussi toujours travailler mon jeu en zone offensive.

Photo d’archives, Martin Chevalier

« Patrice est droitier !

Dès son arrivée à Montréal, a rappelé le joueur de Victoriaville, les parallèles avec Bergeron ne manquaient pas. Danault n’est pas très à l’aise avec le jeu des comparaisons – « Patrice est droitier ! a-t-il plaisanté – mais il dit aujourd’hui que c’était peut-être pour le mieux pour le reste de sa carrière.

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“C’était un gros morceau [de se faire comparer à Bergeron]» a souligné l’attaquant des Kings. Mais c’était bien de vouloir atteindre son niveau. Patrice a été pour moi un modèle incroyable. Hors de la glace, sur la glace.

“J’ai eu la chance de m’entraîner avec lui pendant des étés”, a-t-il ajouté. Ce n’est pas quelqu’un qui va vous dire beaucoup quoi faire, mais rien que par son exemple, vous apprendrez. J’ai eu la chance de pouvoir le rencontrer.

Son propre plateau à trophées n’est peut-être orné d’aucun Selke, mais s’il peut à son tour inspirer des jeunes bons dans les deux sens de la glace, le joueur de Victoriaville s’en réjouit.

Il ne ressent pas la pression

À 31 ans, avec encore plusieurs belles saisons devant lui, Danault semble tout à fait à l’aise dans ce rôle d’attaquant défensif.


Photo Stevens LeBlanc

Lorsqu’on lui a demandé mercredi s’il ressentait une pression pour « impressionner la galerie », puisqu’il est le seul Québécois dans l’alignement des Kings, et donc le seul Québécois à avoir disputé les deux matchs préparatoires de l’équipe au Centre Vidéotron, l’attaquant n’a pas répondu. reculer.

«J’ai un peu d’expérience», se souvient-il, ayant joué à Montréal à une époque où les joueurs locaux n’étaient pas légion. Mais non, ce n’est pas plus de pression. Je n’ai jamais été le genre de joueur qui essaie d’impressionner la galerie.

«Je donne tout, et c’est comme ça que je brille», a ajouté Danault.

Des propos sages qu’on aurait aussi pu entendre de la bouche de son modèle.

 
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