Un coup de pouce monétaire pour les athlètes émergents

Un coup de pouce monétaire pour les athlètes émergents
Un coup de pouce monétaire pour les athlètes émergents

Recevoir de l’argent est toujours agréable, mais lorsque l’argent provient d’une bourse qui reconnaît l’effort et encourage la formation continue, le plaisir devient celui de réaliser son potentiel.

Mercredi, à la Maison du Loisir et du Sport de Montréal, 14 étudiants-athlètes ont reçu un chèque pouvant aller jusqu’à 4 000 $ pour les soutenir dans leurs efforts.

Du lot, des jeunes de 16 à 25 ans pratiquant des sports différents, mais unis par un investissement – ​​celui qu’ils mettent dans la formation, et celui reçu par la Fondation Aléo, qui propose des services d’accompagnement et d’accompagnement. soutien financier aux athlètes visant une carrière sportive.

Pour beaucoup d’entre eux, les billets de bourse Aléo servent à d’autres billets, ceux de voyage, qui leur permettent de concourir à un autre niveau de compétition, de franchir une autre étape de leur parcours sportif.

Zakary Mama-Yari est le doyen de cette cohorte. Boursier pour une deuxième année, le coureur de 25 ans, spécialiste du 800 m, voit sa carrière passer en seconde vitesse. Sélectionné dans l’équipe canadienne pour les Jeux panaméricains de 2023 à Santiago, au Chili, il participera à ses premières sélections olympiques d’athlétisme en juin à Montréal.

Zakary Mama-Yari

Photo : Comité olympique canadien / Thomas Skrlj

Il est désormais à 1,5 seconde du standard olympique et sa saison dure à peine un mois. C’était à Los Angeles, ma meilleure première course de tous les temps, 50 centièmes plus rapide que ma première course l’année dernière. Cela augure bien pour l’avenir.

Cette bourse représente moins de soucis en matière de frais de compétition, de déplacement, d’hébergement, tout pour garder mes entraînements réguliers et normaux et être prêt quand il est temps de performer.

Zakary Mama-Yari fait partie de cette nouvelle vague de l’athlétisme québécois, portée vers le haut par le relèvement du niveau au Québec, qui me pousse à me dépasser. Mes amis me parlent du palmarès canadien d’Audrey Leduc, c’est encourageant de voir la visibilité qu’a notre sport, d’en entendre parler dans les médias.

Avec un top 3 en juin, cela pourrait être l’occasion d’écrire le vôtre dans la délégation canadienne qui s’envolera pour les Jeux de Paris.

Objectif 2026

D’autres se dirigent vers Milan-Cortina.

C’est le cas de James Savard-Ferguson, qui se rapproche rapidement d’une place au sein de l’équipe canadienne de snowboard (snowboard cross). À 19 ans, il est déjà le double champion canadien junior en titre, 2026. Je suis à la limite, nous sommes trois au même niveau à nous battre pour cette quatrième place.”,”texte”:”et je trouve que c’est très réaliste d’avoir ma place dans l’équipe olympique de 2026. Je suis à bout, nous sommes trois au même niveau à nous battre pour cette quatrième place.”}}”>et je trouve que c’est très réaliste d’avoir ma place dans l’équipe olympique de 2026. Je suis à bout, nous sommes trois au même niveau à nous battre pour cette quatrième place.

Le skateur de Baie-Saint-Paul fait déjà beaucoup d’efforts physiques pour guérir d’une blessure au genou subie en novembre. Je vois mes kinés régulièrement, je suis en salle d’entraînement six jours par semaine pour préparer le retour à la neige.

Facile d’être motivé avec la tradition québécoise dans sa discipline, par Dominique Maltais, mon inspiration originelle, qui était super dominante à l’époque, elle était mon modèle à suivre et celle qui m’a donné envie de faire ce sport. Et aujourd’hui, Eliott Grondin est un athlète incroyable. C’est mon coéquipier, je peux apprendre de lui, je le considère comme un modèle et un ami, car nous concourons ensemble toute l’année.

La saison prochaine, l’objectif de James Savard-Ferguson est de faire avec lui le plus de Coupes du monde possible, une dizaine, et de briser la bulle au plus haut niveau. L’aide d’Aléo servira à boucler ce planning déjà chargé.

L’hiver manque aussi à Félix-Olivier Moreau, qui, à 22 ans, affronte les meilleurs athlètes du monde en ski de fond : cette année, il a participé à deux Coupes du monde, sa première, à Canmore et Minneapolis. C’était une grande scène, contre les meilleurs du monde, ceux qui participent aux Jeux Olympiques. Cela m’a ouvert les yeux et cela me motive à me lancer. D’autant plus qu’il figure déjà dans le top 8 canadien au niveau senior.

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Félix-Olivier Moreau

Photo : Radio-Canada / Guillaume Piedboeuf

Originaire de Saint-Ferréol-les-Neiges, il souligne que l’apogée de son sport est souvent atteinte plus tard, parfois même vers la trentaine. atteindre physiquement son apogée au bon moment. », « texte » : « Ce cycle olympique arrive à un bon moment. Le ski de fond est impitoyable, c’est du VO2 max, et développe une certaine puissance de glisse. C’est de la régularité, de l’entraînement et savoir comment atteindre son apogée physiquement au bon moment. »}} »>Ce cycle olympique arrive à point nommé. Le ski de fond est impitoyable, c’est du VO2 max, et développe une certaine puissance de glisse. C’est la cohérence, la pratique et la connaissance sommet physiquement au bon moment.

Le soutien de mercredi est de continuer à travailler plus dur.

Nouvelles hauteurs

Zorak Paillé utilise la bourse Aléo pour voyager. C’est déjà son quatrième, et tous ont été utilisés pour participer à de nouvelles compétitions. Je reviens du Brésil, je pars prochainement en Utah pour les Panams, puis en Europe pour un mois. En attendant, on le retrouve à Saint-Sauveur.

Athlète de vélo de montagne, ses objectifs ont changé suite à des performances inspirées. U23 en août, et quand nous y arriverons, nous verrons ce que je peux faire. J’ai totalement pour objectif de monter au niveau élite, qui est le circuit senior.”, “texte”: “J’ai de bonnes chances d’aller au Championnat du Monde U23 en août, et une fois là-bas, nous verrons ce que je fais. suis capable de faire. J’ai totalement pour objectif de passer au niveau élite, qui est le circuit senior. »}} »>J’ai de bonnes chances d’aller au Championnat du Monde U23 en août, et une fois là-bas, nous verrons ce que je peux faire. J’ai totalement pour objectif d’accéder au niveau élite, qui est le circuit senior.

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Deux ans le séparent encore du circuit senior, et quatre des prochains Jeux d’été, à Los Angeles en 2028. ans, je me positionne déjà pour avoir ma chance. Un cycle olympique concret prend forme. Je veux progresser, c’est un sport où on vieillit, comme en ski de fond. Le meilleur au monde en VTT à 37 ansannées, donc c’est vraiment encourageant. J’ai le temps d’y arriver !”,”texte” : “Je me vois vraiment aux Jeux dans 4 ans, je me positionne déjà pour avoir ma chance. Un cycle olympique concret prend forme. Je veux progresser, c’est un sport où on vieillit, comme en ski de fond. Le meilleur vététiste du monde a 37 ans, c’est donc vraiment encourageant. J’ai le temps d’y arriver !”}}”>Je me vois vraiment aux Jeux dans 4 ans, je me positionne déjà pour avoir ma chance. Un cycle olympique concret prend forme. Je veux progresser, c’est un sport où on évolue en vieillissant. Le meilleur vététiste du monde a 37 ans, c’est donc vraiment encourageant. J’ai le temps d’y arriver !

Le temps est aussi l’allié de Béatrice Normand, une triathlète de 17 ans originaire de Coteau-du-Lac. Médaillée de bronze aux Championnats juniors de triathlon des Amériques en mars, elle partira bientôt aux États-Unis pour rejoindre le circuit NCAA, une fois sa secondaire 5 complétée.

La bourse Aléo, sa troisième, lui sert à l’accompagner dans cette mixité études et sport. Le triathlon n’est pas vraiment un sport où l’on peut en vivre. C’est vous et vos sponsors qui devez fournir l’argent pour le voyage et tout le reste. C’est pourquoi je donne la priorité aux études, pour m’assurer d’avoir une carrière professionnelle qui m’attend lorsque j’aurai terminé ma carrière de triathlète.

C’est un programme d’études en événementiel qui l’a attiré à Denver, où l’attend la suite de sa carrière. Néanmoins, le rêve sportif anime aussi ce passionné de randonnée, impatient de tester les montagnes du Colorado. J’ai rencontré toutes les filles du programme de triathlon, et la dynamique était merveilleuse, j’ai hâte d’être coéquipière avec elles. C’est une équipe très performante, ils ont terminé 4ème l’année dernière aux championnats nationaux.

Il lui reste deux étés sur le circuit junior, mais mon plus grand rêve est de participer au plus haut niveau du triathlon, le WTCS. Les U23 sur le circuit WTCS sont rares, mais si j’y arrive, c’est wow !

Difficile de faire mieux que de s’entourer de montagnes pour atteindre de nouveaux sommets.

 
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