Plus de six mois après le 7 octobre, 130 prisonniers, en majorité israéliens, sont toujours aux mains du Hamas dans la bande de Gaza. Les négociations pour leur libération semblent complètement bloquées.
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Publié le 24/04/2024 à 17h26
Temps de lecture : 5 minutes
HAdas Kalderon vivait à Nir Oz, une communauté de jardins traversée de ruelles, ponctuées de maisons basses aux portes toujours ouvertes, où tout le monde se connaissait. Elle vit désormais à Kiryat Gat, avec le béton des grands complexes, les parterres de fleurs parfaitement alignés, les arbres nouvellement plantés aux troncs plus fragiles que leurs tuteurs, les pistes cyclables qui longent les places colorées, les centres commerciaux bordant les plus ronds-points. important. La mère de famille est passée d’un kibboutz de 400 personnes à une ville peuplée de plus de 60 000 habitants, qu’elle contemple depuis la terrasse située au dernier étage d’une tour blanc cassé. Partout, des lampadaires aux rampes d’escalier, des rubans jaunes flottent au vent chaud : symbole silencieux de soutien au retour des otages.
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