La gestion économique du 777 est loin de rassurer tout le monde au Standard. Mais les Rouches ne sont pas les seuls à s’inquiéter.
Il y a quelques mois, nous vous parlions de la possibilité de voir Bruno Venanzi revenir à la tête du Standard. Cela est dû au fait que 777 Partners n’a toujours pas payé la totalité de la somme due à l’ancien propriétaire.
Et cela commence à devenir urgent : la deuxième date limite pour honorer le reste de la dette est le 20 avril. La situation est exactement la même pour Vasco De Gama, un autre club de la galaxie 777. La différence est que dans ce cas, la date limite est en septembre.
La confiance est brisée ?
Mais cela n’empêche pas le club de se montrer ferme : la presse brésilienne annonce que le président Pedrinho a demandé au fonds d’investissement une garantie de paiement. Vasco de Gama veut ainsi s’assurer que 777 soit effectivement en mesure d’honorer ses engagements à temps.
Le club serait effrayé par les informations alarmantes concernant les 777 ainsi que par les retards de paiement, qui sont là aussi une réalité.
Une demande qui aurait été extrêmement mal accueillie par le groupe américain, qui regretterait le ton agressif de la demande et ne serait pas convaincu de son bien-fondé compte tenu de l’existence de ce délai, censé se suffire à lui-même. Les prochaines semaines s’annoncent-elles plus apaisées à Sclessin ?
