Cole Caufield sur toutes les lèvres

Le cas de Cole Caufield et son faramineux contrat continuent de faire parler de lui.

Alors que les discussions s’échauffent autour du penthouse de Caufield, dans le quartier animé de Griffintown, où les soirées endiablées sont devenues une habitude avec son « copain » qui vit avec lui, Christian Dvorak, on peut au moins se rassurer : Caufield n’est que la fête.

Au moins son penthouse synonyme de fête n’est pas le symbole du déclin financier. Caufield aime faire la fête, mais il est très intelligent dans sa gestion financière.

Disons qu’on est à des années lumières du penthouse de Rémi Duclos, un personnage encore plus controversé que Caufield et pour de mauvaises raisons.

Quand on fait les chiffres, il est stupéfiant de constater que le contrat de Cole Caufield, un contrat colossal de huit ans évalué à 7,85 millions de dollars par année, est pratiquement égal à la valeur du penthouse associé à Rémi Duclos. Cette dernière, aujourd’hui entachée de scandale, représente un symbole saisissant des aléas du monde des affaires.

Le penthouse de Duclos, niché dans le quartier chic de Miami Beach, a été mis en vente il y a près de 160 jours. Initialement proposé au prix vertigineux de 54,5 millions de dollars américains, soit environ 74,5 millions de dollars canadiens, sa valeur a connu une chute vertigineuse. Actuellement cotée à 47,5 millions $ US, soit une baisse significative de 7 millions $ US, cette propriété représente la « dernière ruine » de la fortune de Duclos.

Ce magnifique penthouse, présenté comme un chef-d’œuvre architectural sur trois étages, offre une vue imprenable sur les toits de la ville de Miami, l’océan étincelant et les rives de Miami Beach.

Avec ses six chambres, huit salles de bains, deux salles familiales, sa cave à vin, son ascenseur privé et ses luxueuses places de stationnement, cet espace incarne le summum du luxe.

Cependant, malgré son opulence, le penthouse de Duclos ne représente plus seulement une somptueuse résidence ; il est devenu le pivot central des problèmes financiers de l’homme d’affaires déchu.

Plongé dans les profondeurs obscures de la faillite personnelle, Duclos accumule des dettes personnelles colossales, estimées à plus de 212 millions de dollars. La vente de cette propriété de luxe est devenue sa seule bouée de sauvetage financière, un espoir pour ses créanciers en quête de redressement.

Cette copropriété d’exception, comme plusieurs autres propriétés à Duclos, est habilement protégée contre les saisies directes. Il est détenu par une fiducie familiale, « La Fiducie Irrévocable Transfrontalière de la Famille Bouclin », ce qui confère une certaine immunité contre les poursuites financières.

Le contraste entre les deux mondes représentés par Cole Caufield et Rémi Duclos est saisissant. Alors que Caufield incarne une jeunesse triomphante et une ascension fulgurante dans le monde du sport, Duclos représente un échec financier total.

Ces deux figures illustrent, chacune à leur manière, les défis et les opportunités qui définissent notre époque contemporaine, où succès et échec cohabitent souvent étroitement.

Caufield est un fêtard… mais il est intelligent avec son argent. C’est le principal.

 
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