Ce mardi (à 21 heures, sur RMC Sport 1), se jouera le match retour du quart de finale de Ligue des Champions entre le FC Barcelone et le PSG. La veille du match, qui aura lieu au stade de Montjuïc, l’entraîneur catalan, Xavi, a fait l’éloge de Luis Enrique, qu’il cite parmi les entraîneurs qui ont eu « le plus d’impact ».
L’acte 2 de la double confrontation entre le Barça et le PSG se tiendra ce mardi à 21 heures au stade de Montjuïc. Si les Catalans ont pris une première option pour les demi-finales en remportant le premier tour au Parc des Princes (2-3), les Parisiens auront à coeur d’infliger une petite remontée aux Barcelonais. S’il peut y avoir un peu d’animosité entre les supporters des deux équipes, il existe en revanche un grand respect mutuel entre les deux coachs.
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Présent devant les médias, Xavi a fait l’éloge de son compatriote Luis Enrique qu’il considère comme une Source d’inspiration aux côtés d’autres grands noms : « Avec Luis Aragonés (ancien entraîneur de l’Atlético de Madrid et de l’Espagne, décédé en 2014), ce sont les trois entraîneurs (Pep Guardiola et Luis Enrique) qui m’ont laissé la plus grande impression.
« Maintenant que je pense à eux en tant qu’entraîneur, ce sont ceux dont je me souviens le plus. Quand je pense à ce que je dois faire, je me souviens d’eux trois. Ils m’ont marqué et c’est ma réalité », a-t-il poursuivi.
Les retrouvailles entre Luis Enrique et Xavi
Déjà lors du match aller, les deux hommes avaient célébré leurs retrouvailles par un échange amical. L’entraîneur du PSG a lancé les hostilités en interpellant son homologue « Peleto » (équivalent de « poil d’ab*** »). « Comme c’est agressif ! Comme c’est agressif ! Xavi a alors répondu. Luis Enrique a répondu avec un sourire : « Comme c’est agressif. Tu sais qui je suis. Comment vas-tu?”
Malgré la bonne relation entre les deux hommes, l’un des deux devra jouer un mauvais tour à l’autre pour accéder à la demi-finale de la Ligue des Champions où le vainqueur de mardi retrouvera soit le Borussia Dortmund, soit l’Atlético de Madrid. .
