ce que l’on sait des otages toujours détenus par le Hamas

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AHMAD GHARABLI / AFP Plus d’une centaine d’otages sont toujours aux mains du Hamas à Gaza, et parmi eux Ofer Kalderon, un père franco-israélien captif depuis 183 jours.

AHMAD GHARABLI / AFP

Plus d’une centaine d’otages sont toujours aux mains du Hamas à Gaza, et parmi eux Ofer Kalderon, un père franco-israélien captif depuis 183 jours.

INTERNATIONAL – Combien de temps faudra-t-il attendre ? C’est la question que se posent les nombreuses familles d’otages toujours détenus par le Hamas depuis le 7 octobre à Gaza. Car après six mois de guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien, il est difficile de trouver des raisons suffisantes d’espérer une nouvelle négociation permettant une nouvelle salve de libérations d’otages.

Le 7 octobre, le Hamas a frappé l’État juif d’une manière sans précédent, s’attaquant principalement aux civils. Résultat de l’attaque ? Plus de 1 160 morts et 250 personnes capturées par les hommes du Hamas. Fin novembre, une centaine (33 mineurs, 49 femmes et 30 hommes recensés par l’AFP) ont finalement été libérés lors de la seule trêve négociée à ce jour.

Depuis, trois otages ont été tués. par erreur » lors d’une opération israélienne à la mi-décembre à Gaza et deux otages israéliens et argentins ont été libérés lors d’une autre opération militaire israélienne à la mi-février.

Pas de nouvelles de 130 personnes, combien sont encore en vie ?

À ce jour, selon les autorités israéliennes, 130 personnes sont toujours officiellement portées disparues dans la bande de Gaza, dont 34 auraient été tuées. Le Hamas a également annoncé mi-janvier la mort de deux otages, Yossi Sharabi et Itay Svrisky. Il est toutefois impossible de confirmer ces décès présumés de Source indépendante.

Il est donc difficile d’établir avec précision le nombre d’otages vivants encore détenus, ainsi que leur identité ou leur localisation. La seule certitude concerne l’absence de mineurs parmi les otages restants. Et les rares autres informations disponibles permettent seulement d’estimer qu’il y a une majorité d’hommes, une quinzaine de femmes et autant de militaires.

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Et malgré les efforts constants de plusieurs pays médiateurs à Doha et au Caire pour obtenir cette trêve entre les deux camps, les discussions en vue d’un cessez-le-feu patinent, Israël et le mouvement islamiste palestinien se rejetant mutuellement la responsabilité de cette impasse. . Cependant, en Israël, de nombreuses familles d’otages continuent de faire pression sur le gouvernement de Benjamin Netanyahu, l’exhortant à prendre les choses en main en acceptant une nouvelle trêve pour permettre la libération des personnes toujours détenues dans la bande de Gaza.

Début mars, la branche armée du Hamas affirmait que plusieurs « prisonniers ennemis »sept au total, sont morts pendant “bombardement” Israéliens sur le territoire palestinien. Une information, là encore, difficile à vérifier.

Trois Français parmi les otages

Depuis novembre, la situation des otages reste pratiquement inchangée. Ce qui fait que trois Français restent à ce jour captifs dans l’enclave palestinienne.

Le plus jeune est Orión Hernández-Radoux. Agé de 32 ans, ce Franco-Mexicain fait partie des 3 000 personnes qui ont profité de la fête de la musique Tribu de Nova lorsque les combattants du Hamas ont fait irruption sur le sol israélien le 7 octobre.

Il y a aussi Ohad Yahalomi, un franco-israélien résident du kibboutz Nir Oz. Agé de près de la cinquantaine, cet homme a été capturé avec son fils Eitan. Ce dernier, âgé de 12 ans, faisait partie des otages libérés fin novembre.

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Le dernier s’appelle Ofer Kalderon. Père de quatre enfants, cet otage franco-israélien de 53 ans fait partie de l’une des familles les plus touchées par l’attentat du 7 octobre. Il se trouvait également au kibboutz Nir Oz lorsqu’il a été kidnappé avec sa fille Sahar et son fils Erez. Respectivement âgés de 16 et 12 ans, ses enfants ont été libérés le 27 novembre. Deux autres membres de cette famille ont en revanche connu un sort désastreux : Carmela, la grand-mère de Sahar, âgée de 80 ans, et sa cousine Noya, âgée de seulement 13 ans. Initialement présumées otages, leurs Les corps ont depuis été retrouvés et identifiés.

Rejoint par HuffPostLe cousin d’Ofer, Ange Kalderon avoue avoir « toujours pas de nouvelles » de lui depuis le témoignage d’un otage libéré indiquant l’avoir vu blessé à la jambe. ” Nous atteignons six mois ce dimanche et nous ne voyons aucune issue », avoue celui qui par la force des choses est devenu président de l’association « 7 octobre, vies brisées en Israël », créé dans le but d’agir à l’échelle nationale pour les otages français du Hamas.

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