Titulaire d’un Master en droit international, j’ai réalisé à la fin de mon parcours universitaire qu’il était important d’évoluer dans un domaine que l’on apprécie. Du jour au lendemain, j’ai décidé de mettre un terme au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, de vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l’actualité sportive, en essayant de tenir les lecteurs informés au mieux.
18 ans après la finale de la Coupe du monde 2006, Marco Materazzi a évoqué avec franchise son affrontement avec Zinédine Zidane et le fameux coup de tête qu’il a reçu à la poitrine. Durant la prolongation, le joueur français a craqué après les insultes de son adversaire transalpin qui, dans un premier temps, s’était brouillé avec Gennaro Gattuso.
La carrière internationale de Zinédine Zidane s’est terminée un soir de juillet 2006, en Allemagne. Le champion du monde 1998 espérait réaliser le doublé, il a quitté la scène avec un coup de tête mémorable sur Marco Materazzi. Tout a commencé par une insulte de la part de l’international italien. L’ancien joueur de l’Inter aurait insulté la sœur de Zinédine Zidane.
Materazzi dit tout sur le choc
« Tout cela est vrai et ceux qui ont joué au football le comprennent. Peut-être que oui, j’ai eu malin de l’éviter et il a sauté pour y mettre la tête. Et de toute façon c’est vrai que j’aurais voulu son maillot. Mais voilà, j’ai répondu à ça et c’est arrivé » a confié Materazzi sur RMC. D’autant plus que l’Italien était brûlant après une altercation avec Gennaro Gattuso.
“Il y avait de la nervosité”
« Au départ, c’était la faute de Gattuso. Ce qui s’est passé, c’est que lors de la première période de prolongation, je ne sais pas si vous vous en souvenez, il y a eu un énorme arrêt de Buffon. Et sur cette action, en réalité, je me heurte à Gattuso car il me reproche de ne pas avoir marqué Zidane qui avait frappé alors que je devais marquer Trezeguet. C’était lui, Gattuso, qui aurait dû marquer Zidane. Donc en réalité, lui et moi nous sommes affrontés. Et après ce qui s’est passé, j’ai dit que si je n’avais pas retenu Zidane, nous aurions été en difficulté. On s’est retrouvé à s’affronter, il y avait de la nervosité et voilà ce qui s’est passé derrière » lâche-t-il.