. Tuilagi et Habel-Küffner, les Samoans de l’Aviron Bayonnais, décryptent leurs tatouages ​​pour « Raffut »


«Mon tatouage a duré quatorze heures, en deux étapes, deux passages de sept heures», raconte Tuilagi.

Pablo Ordas

Les tatouages ​​de Giovanni Habel-Küffner ont été réalisés « à la machine » : « Ils n'ont pas la même profondeur ».


Les tatouages ​​de Giovanni Habel-Küffner ont été réalisés « à la machine » : « Ils n’ont pas la même profondeur ».

P.Ordas

« Le pe'a est le véritable tatouage traditionnel, celui qui va du torse au genou des deux côtés du corps. Normalement, vous le faites à deux. De cette façon, vous partagez la douleur. »


« Le pe’a est le véritable tatouage traditionnel, celui qui va du torse au genou des deux côtés du corps. Normalement, vous le faites à deux. De cette façon, vous partagez la douleur. »

P.Ordas.

Le vrai tatouage traditionnel se fait avec un peigne. C'est le procédé utilisé par Manu Tuilagi.


Le vrai tatouage traditionnel se fait avec un peigne. C’est le procédé utilisé par Manu Tuilagi.

Pablo Ordas

Un numéro dont le dossier spécial est dédié aux joueurs du Pacifique, qui enchantent le mondial depuis trente ans. Au menu, des entretiens avec les internationaux français de l’Union Bordeaux Bègles Yoram Moefana et Sipili Falatea, et avec l’ancienne internationale française Yolaine Yengo, qui évoquent le déracinement qu’ils ont subi en quittant leurs îles ; un zoom sur la famille Taofifenua ; le portrait de Misaele Petero, une Fidjienne comme tant d’autres qui a raté son pari d’une carrière européenne ; et une enquête sur les talents calédoniens, tiraillés entre l’envie de rejoindre la métropole lointaine et la proximité de la terre sainte du rugby, la Nouvelle-Zélande.

Outre le dossier spécial rugby du Pacifique, « Raffut » n°11 vous propose également un entretien exclusif avec Romain Ntamack, et deux enquêtes sur le racisme et l'écologie dans le rugby.


Outre le dossier spécial rugby du Pacifique, « Raffut » n°11 vous propose également un entretien exclusif avec Romain Ntamack, et deux enquêtes sur le racisme et l’écologie dans le rugby.

La Cellule Créa / SO

Entretien exclusif avec Ntamack

Mais « Raffut » ne se limite pas à cela. Le dixième numéro de notre trimestriel vous propose également une interview exclusive de l’ouvreur du Stade Toulousain Romain Ntamack, qui rêve de retrouver le maillot Bleu, et deux enquêtes : l’une sur le rêve impossible d’un rugby plus vert, et l’autre sur la propagation du racisme dans le monde ovale.

Nous reviendrons sur l’avenir du rugby à sept en après le succès estival aux Jeux Olympiques, et sur une question jusqu’ici restée sans réponse : pourquoi la Bretagne est-elle le seul territoire celtique où le rugby n’a pas décollé ?

Enfin, deux rencontres insolites : en Haute-Vienne, on retrouve la trace de Francis Palmade, l’arbitre qui a inventé le geste moderne des référés alors qu’il officiait un Ecosse – Pays de Galles en 1973… sans parler de chaque mot d’anglais. Alors on vous raconte le fabuleux destin de Mikel Guerendiain, deuxième ligne basque qui s’est retrouvé international arménien suite à une faute de frappe sur son nom de famille.

 
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