Blake Lively l’accuse de harcèlement sexuel et d’avoir organisé une campagne de diffamation à son encontre. Justin Baldoni, réalisateur et acteur du film “Jamais plus”tiré par son agent, organise la contre-attaque. Il a à son tour porté plainte.
Et pas seulement contre Blake Lively, mais contre le New York Times. Justin Baldoni réclame 250 millions de dollars de dommages au journal américain. Il déplore son manque d’intégrité journalistique dans la couverture de cette affaire.
À son tour, Justin Baldoni porte plainte contre Blake Lively
Celui qui porte plainte pour diffamation explique que l’auteur de l’article a repris le flambeau “faux témoignages » Blake Lively sans vérifier. Il a également porté plainte pour «violation de la vie privée ».
Il y a quelques jours d’ailleurs, son avocat l’avait déjà prévenu. Bryan Freedman a ensuite déclaré à Deadline : «Lorsque nous déposons notre première plainte, Cela va choquer tous ceux qui ont été manipulés par les mensonges de Blake Lively.“. A l’époque, il n’avait pas précisé combien de plaintes seraient déposées contre l’actrice américaine.
Et d’ajouter cependant : «Ces accusations seront étayées par des preuves et feront ressortir la vérité. Au cours de mes 30 années d’expérience, je n’ai jamais étant donné le manque d’éthique de ce genre et une telle manipulation alimentée par les médias.
Pour justifier cette nouvelle action en justice, Justin Baldoni accuse notamment le NYT. Il lui reproche d’avoir cité «communications privées hors contexte – et dans certains cas falsifié – dans le but de promouvoir un récit unilatéral et spécieux, clairement destiné à calomnier les plaignants ».
Il partage notamment des échanges qu’il aurait eu avec sa compagne, au cours desquels ils auraient convenu de répéter des scènes ensemble, dans sa caravane, pendant qu’elle allaitait son nouveau-né.
Il y en a plusieurs pour contre-attaquer
Justin Baldoni n’est pas pas le seul à s’en prendre au quotidien. Au total, ce sont dix autres personnes, dont ses agents de relations publiques Melissa Nathan et Jennifer Abel (agressée également par Blake Lively) qui participent à ce procès.
De son côté, le Le NYT défend son article qui s’appuierait sur des milliers de pages de documents, de messages et d’e-mails. La référence prétend avoir «scrupuleusement vérifié » les faits »cité avec précision et contextualisé ».
Dans un communiqué, la direction précise également : « À ce jour, Justin Baldoni et les autres visés par l’article n’ont signalé aucune erreur. Nous avons également publié leur déclaration complète en réponse aux accusations détaillées dans notre article.