Kareen Guiock et Lilian Thuram forment un couple uni. Cela fait plus de vingt ans que le présentateur de 66 minutes (M6) et l’ancien footballeur professionnel vivent le parfait amour. Une union qui s’est scellée en août 2022, lors d’une grande fête.
Grand mariage pour le journaliste 66 minutes
C’est en 2016 que la relation entre Kareen Guiock et Lilian Thuram est officialisée. Mais leur histoire a commencé bien au-delà de cela. Pourtant, tous deux n’ont jamais voulu parler du début de leur rencontre, ni même de leur relation. Mais nous le savons grâce à parisien que leur union a été célébrée le 23 août 2022, à Fontainebleau, ville située au sud-est de Paris. 150 personnes étaient invitées à participer à ce moment unique. “C’était une très belle cérémonie avec beaucoup de monde dans la salle principale. Il y avait beaucoup de personnalités et le couple voulait se faire discret», a confié le maire Julien Gondard ayant célébré leur union, dans les colonnes de La République.
Nos collègues de parisien a ajouté queun feu d’artifice avait troublé la quiétude des habitants de la ville. Kareen Guiock et Lilian Thuram avaient l’autorisation d’en tourner un, cependant, celui-ci devait avoir lieu jusqu’à 23h30 maximum. Mais leur mariage ayant été retardé, ce n’est que vers 1 heure du matin que le spectacle polytechnique aurait eu lieu. Si aucune plainte n’avait été déposée malgré la colère des habitants, cet imprévu aurait poussé la présidente du château Marie-Christine Labourdette à ne plus accepter de feux d’artifice privés. “Nos clauses de confidentialité nous empêchaient d’informer les voisins. Lilian Thuram, originaire du pays, a voulu montrer son attachement à Fontainebleau, à Avon, au patrimoine», a-t-elle tempéré. Rappelons que le footballeur a effectivement fait ses débuts à Fontainebleau.
Un couple qui veut se faire discret
Inutile de se tourner vers les tourtereaux pour leur parler de leur relation. Kareen Guiock et Lilian Thuram préfèrent en effet se faire discrètes. “Il n’y a pas grand-chose à dire à ce sujet qui soit dans le domaine public. Cela nous appartient. Je ne vois pas trop ce qu’on pourrait avoir à partager (…) On n’en fait pas une religion mais c’est dans nos tempéraments, c’est comme nous de ne pas communiquer plus que ça. On ne se cache pas mais on n’a rien de particulier à communiquer», a confié la journaliste au micro de Femmes de télé, de Télévision de loisirs.