Jeudi 26 décembre, TF1 a consacré sa soirée à son animateur Arthur. A l’occasion de ses 30 ans de carrière, la chaîne a souhaité retracer son parcours en mettant en lumière les émissions qu’il a animées ou créées. Une réunion convoquée Arthur, le gamin de la téléen référence au programme phare qu’il a lancé en 1994, à l’époque sur France 2. Tout au long du récit, l’animateur dévoile quelques secrets comme l’identité du banquier deÀ prendre ou à laisser ou encore les gains offerts aux candidats dans ce même jeu. L’occasion aussi pour lui de raconter comment son choix s’est porté sur Arthur comme surnom au début de sa carrière.
“On m’a demandé de choisir un prénom» : pourquoi Arthur s’appelle Arthur et quel est son vrai nom ?
Il n’est pas rare que des personnalités ou des artistes se fassent connaître sous un autre nom que le leur. Dans la vie, Arthur s’appelle Jacques Essebag. Mais au début de sa carrière, il a dû prendre un pseudonyme. “Quand j’ai commencé à la radio, il y avait déjà un gars qui s’appelait Jacquesc’est mon vrai prénom, donc on m’a demandé de choisir un prénom» explique l’animateur de Vendredi, tout est permis dans le préambule. Puis, il poursuit en expliquant comment ce prénom lui est devenu évident : «A cette époque, il y avait une campagne d’affichage pour les caleçons Arthur. Il y avait une super blonde, elle avait de gros sous-vêtements et dans ses sous-vêtements, face à elle, il y avait un petit bonhomme. Je me suis dit : « Wow, c’est génial Arthur » », se souvient-il. En réalité, face au mannequin en boxer, posait un tout jeune acteur, aujourd’hui bien connu des téléspectateurs : Elie Semoun ! “Il est devenu un ami, mon prénom, je lui dois !» rigole encore aujourd’hui le présentateur.
“je lui dois tout» : Arthur rend hommage à un grand homme de la télévision
Dans ce documentaire, Arthur parle également d’une autre personne qui a joué un rôle important dans sa carrière. Nous sommes dans la première moitié des années 1990, l’hébergeur s’apprête à se lancer Enfants à la télé : “J’ai fait appel à Pierre Tchernia, d’abord parce que c’était mon idole et ensuite parce que j’avais besoin de quelqu’un qui puisse rassurer les téléspectateurs. Ce spectacle n’aurait jamais eu lieu sans lui. je lui dois tout» confie, avec reconnaissance, celui qui a retracé, le temps d’une soirée, une partie de sa carrière à la télévision.