Je ne suis peut-être pas aussi grand foodista que mes collègues Pharrell Arot et Robin Panfili, mais une chose est sûre : j’aime les nouvelles expériences, celles qui vous donnent de nouvelles anecdotes à raconter lors des soirées mondaines, qui vous enlèvent les vertiges, les nausées supplémentaires. et les paumes moites lorsque vous les ressentez. Aujourd’hui, mon expérience est un peu plus… inattendue ou, justement, très terre à terre. J’ai appris à boire, apprécier et goûter l’eau. Je m’explique : pour la sortie de la nouvelle bouteille d’eau d’Evian avec Pharrell Williams et son label Humanrace, le chef Jean Imbert a concocté tout un menu gastro au bar du Plaza Athénée.
Ce soir sera donc la nuit de toutes les premières fois : la première fois que je m’écrase au Plaza. La première fois, j’ai dégusté un menu imaginé par Jean Imbert. Et enfin, la première fois, on m’a appris à boire non pas du vin ou un autre liquide « à cultiver », mais de l’eau claire. Chaque chose en son -. D’abord, on se met à table et mange, dans l’ordre, une entrée au curcuma et chèvre (un délice) puis une gelée de betterave (j’aime moins) et un cœur de romarin (j’aime bien). apprécier davantage). Si ce n’est pas forcément le sujet de l’expérience, je dois reconnaître que la cuisine du chef est à la hauteur de sa réputation : très subtile et propice aux nouvelles saveurs. Même si je n’aime pas à 100% tout ce qui me passe dans la bouche, je salive et je suis reconnaissante de connaître ces goûts que j’ai tendance à apprécier. skipper par paresse ou par facilité.
Une petite pause arrive, je disparais pendant deux minutes (dix, je me perds un peu au Plaza) et, en revenant, je me demande si je ne me suis pas trompé de salle ou de coulisses au Plaza. Sollicitude. Tout le monde a les yeux fermés, les mains sur la poitrine. L’exercice pour apprendre à boire de l’eau a commencé en mon absence. Rapidement, je m’installe et essaie de comprendre quelles étapes j’ai manquées. Je ferme les yeux comme les autres. Le silence est général mais sera bientôt rompu par quelques éclats de rire visiblement trop longtemps réprimés. Ma table est la plus dissipé. Nous jouons tous le jeu mais il est impossible de rester sérieux. “C’est normal de rire à ce moment-là, il fallait que ça sorte», nous rassure le Figaro du soir, ce qui nous aide à nous détendre. Avant de nous expliquer étape par étape comment boire, voire profiter de l’eau devant nous, l’idée est de la vouloir, de la désirer, pour mieux en profiter. Mais attention, il est interdit de tremper le bec avant d’avoir eu le feu vert.
On rapproche son nez du verre, comme s’il s’agissait d’un alcool raffiné. On la visualise, devine son goût (et ceux qui disent que l’eau n’a pas de goût, je vous invite à faire un test Covid dès que possible). C’est drôle : j’étais assez sceptique quant au début de l’exercice. Maintenant, je réalise que notre entraîneur d’infortune a raison. Garder son verre plein si près de mes lèvres est une torture à laquelle elle mettra heureusement fin assez rapidement. L’exercice se termine par quelques étirements, rien de bien méchant. Ainsi que quelques caresses sur les coudes et les oreilles qui ne manqueront pas de faire rire le reste des convives avant la suite du repas. Depuis, est-ce que je bois mon eau uniquement comme une petite princesse ? Pas sûr, mais au moins je sais reconnaître toute sa sève.
La nouvelle édition limitée Evian x Pharrell Williams est déjà disponible pour les fêtes.
Article rédigé dans le cadre d’une invitation.