Après une semaine de pause, les travaux à l’Assemblée nationale ont repris en force… mais sans le député Haroun Bouazzi, pris dans de nombreuses polémiques.
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L’élu de Maurice-Richard, accusé d’avoir traité l’Assemblée nationale de raciste, ne répond plus aux questions des journalistes depuis le début de la saga et n’a pu être joint mercredi.
Sa présence à la mise à jour économique d’Éric Girard, jeudi, est compromise pour celui qui occupe le poste de porte-parole de l’économie au sein de Québec solidaire.
Pour Emmanuelle Latraverse, cette situation ne peut pas rester ainsi indéfiniment.
“Il ne peut pas rester caché pendant les deux prochaines années”, estime le chroniqueur.
Québec solidaire se retrouve donc « coincé » dans cette situation, estime-t-elle.
«Le traitement de canal n’est terminé que lorsqu’il a parlé et subi l’exercice de répondre aux questions», souligne Mme Latraverse.
Pour Elsie Lefebvre, QS doit cacher son député pour tenter de stopper les discussions sur cette polémique.
“Nous espérons qu’il fera une pause jusqu’à la semaine prochaine”, selon elle.
Ces inquiétudes touchent également le nouveau co-porte-parole nommé ce week-end.
« Ruba Ghazal voudra certainement apporter sa vision », mentionne le jouteur.
C’est donc pour cette raison que le parti politique a pris la décision de ne pas montrer Bouazzi pour ne pas ajouter un chapitre à la saga d’Haroun Bouazzi.
