“Après des années de silence et de peur, elle n’a plus d’autre choix que de partager publiquement cette affaire, compte tenu du traitement judiciaire différencié dont elle souffre depuis plusieurs mois. Aujourd’hui encore, elle vit dans un véritable enfer. Elle souffre d’un grave stress post-traumatique qui résulte, selon les certificats spécialisés dont elle dispose, des violences infligées par M. Samaras. (vrai nom du rappeur, NDLR)», conclut le communiqué.
Nekfeu réagit aux accusations de son ex-femme
Ce lundi en fin d’après-midi, Nekfeu est sorti du silence pour réagir aux accusations de la mère de son enfant. Il parle d’un “communiqué mensonger et diffamatoire” et entièrement “faux” diffusé par l’avocat de son ex-femme : “Ces accusations ont été rejetées par la justice et reviennent en même temps qu’elle (son ex-femme, ndlr) a été arrêté hier soir pour la disparition inquiétante de mon fils de 3 ans. Elle est actuellement sous contrôle judiciaire depuis septembre et il lui est interdit de s’approcher de l’école de notre fils.
Le rappeur explique que son ex-compagne n’a jamais accepté la procédure de divorce qu’il avait initiée il y a trois ans et qu’elle a depuis tenté “d’utiliser (leur) enfant” pour le joindre. Elle l’aurait fait chanter financièrement. « Elle a été condamnée à plusieurs reprises », écrit Nekfeu, précisant que c’est dans ce contexte qu’il a obtenu la garde de leur fils, en mars 2024.
Le rappeur a déjà transmis à la police “tous les éléments qui prouvent (son) innocence et les intentions malveillantes de (son) ex-femme” : “Elle sera de nouveau jugée en janvier 2025”. “Je n’aurais jamais pensé me retrouver un jour dans cette situation humiliante et je suis d’autant plus attristée et dégoûtée que je crois fermement qu’il faut redoubler d’efforts pour faire entendre la voix des femmes victimes de violences”, a encore déclaré l’artiste.