Le vendredi 26 janvier 2024, C8 a diffusé un reportage sur la famille princière de Monaco, intitulé, Monaco, la saga Grimaldi. Lors de cette soirée, les téléspectateurs ont pu redécouvrir cette famille dirigée de main de maître par Albert II.
Les journalistes interrogés sont revenus sur les relations plutôt conflictuelles entre Charlène, l’épouse du prince, et Caroline, sa sœur aînée. “Charlène et Caroline sont deux femmes complètement différentes, on peut même dire le contraire. Charlène est la princesse rebelle, celle qui ne veut pas rentrer dans le moule, qui veut se libérer des carcans princiers alors que Caroline a toujours été la bonne élève, toujours l’Altesse parfaite, elle était la fierté de son père”, révèle Pierrick Geais, journaliste à Salon de la vanité.
Caroline de Monaco en mauvais termes avec Charlène ?
Un constat totalement partagé par Bertrand Deckers, expert des têtes couronnées. « Caroline est considérée comme la meilleure Ministre de la Culture de la Principauté de Monaco », il confie.
« Alors sans doute, lorsqu’elle a vu Charlène arriver et se faire imposer par le prince, sur le Rocher, Caroline, très clairvoyante, fille et petite-fille d’un souverain, a très bien compris, sans doute avant Albert et avant Charlène, que la partie n’était pas gagnée en avance, qu’il serait difficile pour Charlène de pouvoir un jour assurer ce rôle. Ils n’avaient pas vraiment d’affinités.
Princesses opposées
Pour Bertrand Deckers, “Caroline avait des craintes et des réticences concernant le profil de Charlène.” Et la maman de Jacques et Gabriella va très mal vivre son exposition médiatique. « Charlène a toujours été une Altesse rebelle, elle n’a pas réussi à s’intégrer dans le moule royal. Charlène n’a jamais appris le français, qui est la langue officielle de Monaco. Elle a toujours eu du mal avec les interviews, avec le jeu médiatique », explique Pierrick Geais, journaliste à Vanity Fair.
Ainsi, Charlène de Monaco n’a jamais réussi à trouver sa place de princesse. Si elle parvient à réaliser seule ses projets, elle a toujours eu du mal à respecter les protocoles et à entrer dans le moule. Tout le contraire de sa belle-soeur, Caroline.
