Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Ahmed Al-Musaed
Le film « Love Alone » du réalisateur marocain Kamal Ben Obaid, connu sous le surnom de Kamal Kamal, a remporté le prix de la meilleure production de long métrage au Festival national du film de Tanger fin octobre de l’année dernière et a reçu les éloges de la critique. et des audiences pour transmettre la souffrance de millions de familles marocaines et algériennes qui ont été constamment affectées par la fermeture de la frontière entre les deux pays.
Il a été projeté jeudi 16 janvier au soir sur l’écran du Théâtre Mohammed VI d’Oujda, lors de sa première projection, en présence d’un public nombreux qui a suivi le déroulement du film, qui a laissé un merveilleux et influent autour de la salle fermée. chambre. frontières.
L’artiste algérien Ahmed Maddah et un groupe d’artistes marocains ont participé à cette œuvre filmée dans la ville d’Oujda, à la frontière avec l’Algérie, comme Fatima Zahraa Baladi, Sahar Al-Siddiqi, Younis Mekri, Idriss Al-Rukh, Rabih. Al-Kati, Abdel Razzaq Benaissa et des acteurs d’élite de la ville d’Oujda.
Pendant 100 minutes, « Love Alone » raconte l’histoire d’un mari algérien (Hamid) qui travaille à Oujda et de son épouse marocaine (Noura), qui partagent un amour grand comme le « Mont Asfour » situé entre les deux pays. A travers leur histoire d’amour, elle met en lumière les répercussions de la fermeture des frontières sur la vie de millions de familles vivant dans les villes frontalières.
Dans une de ses scènes, il exprime la tristesse du mari pour sa femme après son décès car il n’a pas pu exécuter son testament de l’enterrer au « Jabal Asfour » situé dans la ville de Tlemcen en Algérie en raison de la fermeture des frontières terrestres. entre les deux pays.
La tristesse a atteint les réseaux sociaux, où des milliers de blogueurs des deux pays ont sympathisé avec le mari et ont réussi, grâce à leurs pressions, à traverser pacifiquement les frontières pour réaliser le rêve de Noura.
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Dans une déclaration au site « Heba Press », le réalisateur Kamal Kamal, qui est également scénariste, a confirmé : « L’idée du film « Solitude of Love » est venue lors d’une visite que j’ai faite à la ville de Saidia et en passant par le Ben Quartier de Lagrave, où Algériens et Marocains vont échanger leurs salutations, et là j’ai vu… Une jeune algérienne du côté marocain porte un bébé et essaie de lui montrer à sa mère l’autre côté du sol algérien. »
Il a ajouté : « La scène de cette jeune femme essayant de montrer à sa mère le fruit de son amour pour son mariage avec un Marocain m’a fait de la peine, et cela m’a fait de la peine de voir sa mère, par contre, essayer d’embrasser son petit-fils comme si elle étreignait l’air. Cette scène douloureuse m’a incité à écrire le scénario de cette œuvre et à montrer les répercussions de la fermeture des frontières sur des millions de familles des deux côtés, loin de tout labyrinthe politique. mais plutôt un artiste qui se soucie de la personne qu’il est et de qui qu’il soit.
Concernant les raisons du choix d’une histoire d’amour réunissant un couple d’Oujda comme thème principal du film, et la question de la fermeture des frontières, le réalisateur Kamal Kamal a confirmé qu’environ 3 millions de personnes vivent dans les villes de l’est du Maroc, et que le Idem Un grand nombre vivent dans les villes frontalières algériennes, et ces personnes sont unies par des liens de parenté et de mariages mixtes depuis… Au moment de la révolution algérienne, quand Oujda était une destination pour les révolutionnaires algériens fuyant les autorités françaises, et ces les relations humaines continuent de se développer. ce jour-là, où j’essayais de me concentrer sur la beauté dans le film. Ce qu’il y a de commun entre les deux peuples, notamment les fruits de l’amour ou les membres d’une famille mixte, tragiquement séparés par des frontières fermées.
Concernant la symbolique du Mont Asfour, cela reste une question symbolique car le mari a demandé dans le film à sa femme de lui dire combien elle l’aimait, et elle lui a répondu que son amour pour lui était aussi grand que le Mont Asfour, qui se situe entre les deux pays. Puis elle lui a demandé, après être tombée malade, de l’enterrer dans son cœur, et là, le mari a compris que cela signifiait cette montagne. La réalité est à Tlemcen. Cette conversation est devenue une légende après la mort de la femme. Les villes frontalières se sont mobilisées pacifiquement pour transporter son corps vers le sol algérien.
Enfin, Kamal Kamal insiste sur le fait qu’il se fiche du débat en cours entre Marocains et Algériens sur les réseaux sociaux car les deux peuples sont liés par un amour fort et durable, contrairement à ces hostilités qui peuvent disparaître dès que les circonstances qui l’ont déclenché ils disparaissent.